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FLUORESCENT ADOLESCENT, est un rpg de type vie réelle centré sur l'adolescence et la rivalité entre deux lycées. Vous avez la possibilité de jouer un lycéen, ou bien un citoyen de la ville fictive de SEOHAN dans laquelle se déroule l'action. Aucun nombre de lignes minimum n'est demandé, et un minimum de deux réponses par mois sont requises pour ne pas être en danger.
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meet you again ☽ ft Suk-Hee.

Lee Yosku
Lee Yosku
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Lee Yosku

SUK-HEE & EIJI

meet you again


Ce matin là, il s'était réveillé seul dans des draps vides, les rayons du soleil traversaient chaleureusement la grande baie vitrée ornant le sommier de son lit exagérément grand. Ils venaient réchauffer ses paupières et éveillaient ses sens les uns après les autres. Ses iris profondément sombres, encore sous un voile de sommeil dont il n'était pas extirpé, il observait fixement le somptueux panorama s'offrant quotidiennement à lui pour se faire à la lumière du jour. La soirée de la veille avait été particulièrement arrosée, cependant ni mal de crâne, ni nausées désagréables ne venaient l'accabler pour autant, sûrement par habitude. Après s'être étiré, il dégageait les draps de son corps seulement habillé d'un short et d'un pull dix fois trop grand pour sa frêle silhouette. La notoriété ne faisait pas de lui quelqu'un de supérieur et d'exigeant, amoureux de tout ce qui brille, du luxe à outrance et des pyjamas en soie. La simplicité faisait de lui ce qu'il était et c'est notamment l'une des raisons qui poussait le public à l'aimer davantage ; il était bien loin de la célébrité typique, trop sérieuse, trop sûre d'elle, à l'égo surdimensionnée. Quoi qu'il en soit, il menait sa routine quotidienne comme il en avait l'habitude et comme chaque matin, il entendait miauler derrière la porte de sa chambre. À peine eut-il le temps de l'ouvrir qu'il se retrouvait entouré de ses chats qui, dans un élan qui se voulait affectif, se frottait contre ses jambes. Eiji s'agenouillait et passait près d'une vingtaine de minutes à s'amuser avec eux avant d'aller se préparer. Il appréciait l'idée de faire une surprise à son amie la plus proche, la revoir elle, sourire, peut-être même, entendre l'écho de son rire, l'étreindre et profiter de son regard pétillant comme il l'était l'année passée. Il n'avait pas eu une seconde à lui, il avait dû se résoudre à changer de numéro et avait perdu tout contact avec elle. Cependant, après quelques recherches approfondies, il avait su trouver l'établissement dans lequel elle étudiait. L'envie et le besoin de la revoir avait guidé sa détermination, ses promesses amicales scellées dans l'espace temps n'avaient pas été du vent et l'attente n'aurait pas été vaine ; la surprendre, c'était le plan. Il avait alors passé la journée à déambuler dans les rues, en quête des coins les plus tranquilles dans lesquels il pourrait l'emmener pour discuter, pour se retrouver et lui offrir un petit cadeau tout droit ramener de l'autre bout du monde. Il n'avait pas pu l'oublier, pas celle qu'il considérait comme son alliée ultime, l'unique personne ayant fait preuve d'une intime sincérité envers lui. Eiji voulait se racheter, parce que partir du jour au lendemain sans jamais n'avoir reparlé de ce qu'il s'était passé entre eux, c'était plutôt lâche comme comportement et ça n'était pas son genre ; la franchise et l'honnêteté qui le caractérisait aurait voulu lui faire part de son impression, de sa vision des choses, mais le temps lui avait manqué et l'opportunité que se présentait à lui aujourd'hui ne se reproduirait certainement pas s'il ne la saisissait pas. Posté face au portail du lycée, il patientait, la tête baissée pour éviter qu'on ne le reconnaisse. C'était ni le jour, ni l'endroit. C'était l'heure, les étudiants sortaient ; visiblement tous soulagé à l'idée de rentrer chez eux. « Les gars, c'est Deight ! », un cri, puis deux, puis trois. Et merde. Il relevait les yeux, un rire amusé échappait de ses lèvres qui elles, s'étiraient en un sourire. Il était ravi de pouvoir rencontrer des fans, mais ça n'était pas le moment et la crainte d'en rater Suk-Hee l'empêchait d'être pleinement concentré sur ce qu'il faisait. Les photos s'enchaînent, les autographes, jusqu'à ce qu'il ne la voit, elle, passer le portail ; elle était là, enfin. « Suk-Hee ! », s'écriait-il afin que cette dernière ne l'entende malgré le brouhaha. Quelques regards surpris, indiscrets, mais peu importe. Il se frayait un passage parmi la troupe de lycéen jusqu'à atteindre son amie qu'il prenait dans ses bras aussitôt arrivé à son niveau ; « C'est un peu soudain, je voulais te faire une surprise je suis désolé, on va dans un endroit plus calme ? », lui chuchotait Eiji à l'oreille, avant de finalement se détacher d'elle, un rictus satisfait logeant sa bouche.
AVENGEDINCHAINS


Zhang Shu Qi
Zhang Shu Qi
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Sam 6 Oct - 3:04
Zhang Shu Qi

SUK-HEE & EIJI

meet you again


ce matin encore, j'étais dans ma bulle. une bulle confortable puisque j'y allait souvent depuis l'année dernière si vous voulez tout savoir. néanmoins, il fallait encore que je me sociabilise, que je fasse la fille aimante, la demoiselle adorable, celle pour qui tout réussit alor que sa vie n'est rien d'autre qu'un gros fiasco. un an que ma vie avait basculé, un an que je m'amusais de manière dangeureuse lorsque la pression éait trop grande et surtout, un an que je ne l'avais pas revu. lui. lui et ses cheveux noirs en pagailles, lui et sa voix de petit canard quand il poussait la chansonnette. lui, ce mec inaccessible qui l'avait été pour moi durant quelques temps avant que... pouf, il ne disparaisse, comme le faisait tout les mecs. qu'il ne disparaisse en laissant une fille détruite derrière lui. si c'était ça la relation fan/idol alors, j'en voulais pas. mais il y avait eut lino entre temps. lino, c'était mon ange gardien, mon sauveur, celui qui m'avait tendu la main quand le titanic était en train de couler. lui, il avait été à mon écoute, il était là pour me rassurer, me protéger à sa manière. lino, c'était pas eiji et inversement. alors aujourd'hui, puisque les entrainements avaient repris, celui de l'équipe de natation aussi. j'avais revêtis mon uniforme de cheerleader une nouvelle fois, une année de plus, une dernière année avant de me rendre à la piscine et simplement m'asseoir sur les gradins, encourageant mon meilleur ami qui devait s'entrainer dur pour des compétitions à venir. son coach avait toujours été tolérant envers moi, me laissant le privilège de venir soutenir les nageurs pendant leurs classes. et puis, j'adorais l'eau. c'était mon élément préféré. celui dans lequel je me sentais le plus à l'aise, le plus apaisée, le moins en proie aux risques extérieurs.

mais voilà que la journée se finit assez tôt aujourd'hui alors, j'étais partit dans les vestiaires des filles pour remettre mon uniforme scolaire, celui qui portait un blason à l'éphigie de l'école avant de défaire ma queue de cheval. il était temps de quitter cet établissement mais avant ça, il était surtout l'heure de passer à la cafétéria chercher de quoi grignoter. c'était mon petit pêché, la gourmandise. je pouvais m'empêcher de grignoter constamment en sachant que je ne prenais pas le moindre kilo suite à ça. et puis, en tant que sportive, j'étais emmené à perdre du poids en faisant des figures millimétrées. un soupir s'échappa de ma bouche à peine eus-je passé ce maudit portail. enfin libre, du moins... c'est ce que tout le monde pensait. ma prison, c'était mon propre corps alors difficile de faire la part des choses que ce soit en classe ou à l'extérieur. puis soudain, mon regard fut attiré vers une petite masse de gens qui criait, mais aussi par d'autres qui courrait dans la direction de cette dite masse. que ce passait-il ? j'étais curieuse de le savoir mais, ça impliquerait des contacts physique avec des inconnus et ça... je détestais ! alors, je traçais ma route sans prêter attention à quoi que ce soit. j'allais pour mettre mes écouteurs dans mes oreilles, me poser sur une bonne playlist de the 1975 quand une voix masculine me tirait de cette action. hein ? quoi ? qui c'était ? boh, rien de bien intéressant puisqu'il ne se passait rien. ou alors c'est ma cervelle qui me jouait de mauvais tours, un peu comme d'habitude quand j'étais seule et fatiguée. alors je coincé mon deuxième écouteur dans le creux de me tympans avant de commencer à me mettre en route vers l'arrêt de bus, là où j'attendrais le chauffeur mais, le destin en avait décidé autrement et avait mit sur mon chemin... eiji. eiji kim aka deight, un chanteur à succès. CE chanteur à succès qui avait volé mon cœur il y a de cela plusieurs mois. CE chanteur qui avait prit la fuite sans rien dire pour continuer sa tournée mondiale, me laissant en plan. il m'avait prise dans ses bras, dans une grande accolade qui avait choqué pas mal de monde autour de nous et il avait également retiré un de mes écouteurs pour murmurer des choses à mon oreille. moi, j'étais paralysée, brusquée et soudainement mal. il souriait, moi pas. qu'est-ce que ? alors c'était lui qui avait attroupé autant de monde ? les yeux s'embuèrent, on savait pas trop si c'était la fatigue ou le fait de le revoir mais j'avais finit par hocher la tête et le pousser sans un mot, le pousser parce qu'il était bien trop près, dans mon périmètre de sécurité là. " ouais... si tu veux." furent les seuls mots qui sortirent de ma bouche, froidement certes mais ils étaient sortit.


Lee Yosku
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Lee Yosku

SUK-HEE & EIJI

meet you again


Repoussé, il s'était attendu à l'être. Il ne s'était pas mit dans le crâne qu'il serait accueillit chaleureusement, les bras grands ouverts. C'est d'ailleurs en parti pour cette raison qu'il était de retour sur les terres coréennes ; la culpabilité, les remords, le manque indéniable de ses bras, de son sourire. Quelque chose d'irrémédiable venait l'accabler, un pressentiment, une foudre dévastatrice, parce que lorsque son regard croisait le sien, il n'y voyait plus rien, si ce n'est un profond vide, un désespoir tiraillant ; l'étincelle avait été éteinte dans ses iris autrefois brûlante de vie. Si son sourire venait à s'effacer doucement, il en restait tout de même un rictus qui ne parvenait pas à se défaire de ses lèvres. Il avait beau s'en vouloir, s'inquiéter, il était sincèrement heureux de l'avoir là, de nouveau devant lui. Désormais, il n'était plus question qu'il s'en aille, qu'il parte à l'autre bout du globe. C'est le cœur lourd de regret qu'il lui adressait un signe de tête pour lui demander de le suivre. Ils n'étaient pas très loin de l'endroit dans lequel il désirait se poser à ses côtés et ça n'était pas plus mal – il avait marcher une bonne partie de la journée pour ne pas à avoir à faire face à un potentiel stresse de retrouvailles, à ses questions sans issues possibles. Eiji ne prononçait pas le moindre mot, avançant silencieusement ; non pas qu'il n'ait pas envie de lui parler, il avait justement tout un tas de choses à lui dire, à lui confier, cependant il ne voulait le faire sur un trottoir, au milieu d'une rue qui ne leur offrait pas la moindre intimité. Au fond, il savait que quelque part, il l'avait déjà perdu mais il ne pouvait pas juste se résoudre à l'oublier, il n'avait jamais pu, parce que justement, Suk-Hee était spéciale, hier, aujourd'hui, comme demain et elle le restera, elle gardera, quoi qu'il advienne de cette conversation, la seule réelle amie en qui il aitprofondément confiance.

« On est arrivé », marmonnait-il, dorénavant moins souriant. L'artiste n'était plus, l'assurance dont il faisait preuve sur scène s'était envolée sans préavis, en le laissant seul avec un amas de regrets à admettre, à avouer, droit dans les yeux de celle qu'il avait assurément blessé. Il lui jetait un regard, tendre comme ils l'étaient avant. C'est alors qu'il pénétrait dans la bâtisse de ce café à étage, direction le toit sur lequel les attendait une table installé uniquement pour eux. Encore une fois, il maintenait ce même calme, adressant simplement un clin d’œil au serveur pour lui signalé qu'il pourrait bientôt monter prendre la commande. Ça n'était pas un lieu luxueux, débordant d'artifices inutiles et c'est principalement ce qui en faisait son charme. Il aimait la simplicité, notamment lorsqu'il pouvait en profiter en bonne compagnie. Eiji ouvrait la porte qui donnait sur ce fameux toit aux allures de jardin sur lequel se trouvait une petite table en ferraille dont les deux chaises étaient assorties à cette dernière. Sans trop en faire, il invitait Suk-Hee à s'installer devant la vue panoramique de Seohan, s'asseyant finalement à son tour, son sac à ses côtés. Il daignait enfin retirer sa casquette, les yeux rivés sur elle. « Tu dois sûrement te demander pourquoi je réapparais seulement maintenant », commençait-il, un brin anxieux. Il était franc, ça n'était pas un mythe, passer par quatre chemins pour arriver à un même résultat n'était pas son genre, mais il avait présentement beaucoup de mal à s'expliquer ; il le savait, il n'avait pas d'excuses et n'en cherchait aucunes et elle le savait certainement elle aussi. « Je t'ai cherché, je t'ai cherché vraiment longtemps, je suis content de t'avoir enfin retrouvé », un maigre sourire venait loger la commissure de ses lèvres avant qu'il ne daigne reprendre ; « avant que tu m'insultes de tous les noms, je voulais juste que tu saches que j'ai jamais voulu m'en aller comme un lâche, j'avais juste pas le choix, au début je m'étais dis que je t'appellerais une fois descendu de l'avion pour te dire où j'étais mais je sais pas vraiment comment, une groupie a trouvé mon numéro, il a circulé et avant même que je puisse t'informer, mon agent avait fait couper ma ligne » soupirait Eiji, agacé par ce souvenir peu agréable.

« Tu me connais, j'ai déjà dû mal à mémoriser mes propres chansons, j'ai pas réussi à me souvenir de ton numéro alors j'ai essayé de t'envoyer des mails mais là encore, je me suis pas souvenu de ton adresse » expliquait-il, puis d'un geste nerveux, il glissait ses doigts dans ses cheveux bruns, intérieurement tiraillé par de multiples sensations ; « je cherche pas d'excuses Suk-Hee, j'en ai aucune, je tenais juste à ce que tu saches que je ne t'ai jamais oublié et que.. », un soupir émanait de sa bouche, détournant le regard vers la somptueuse vue qui s'offrait à eux - « je veux dire, si j'avais su, j'aurai osé te demander de partir avec moi ». Parce qu'il y avait pensé, en effet, il y avait sincèrement songé, mais il s'était dit qu'elle n'aurait jamais accepté – sa vie, ses amis étaient ici, à quoi bon tout quitter pour une simple tournée de plusieurs mois ? « Enfin, il est trop tard, je sais, mais je voulais juste que tu le saches et j'ai.. je t'ai ramené quelque chose d'Autriche », déclarait Eiji en ramassant son sac afin de fouiller dedans pour en sortir un écrin carmin, fait de velours. Il le glissait sur la table pour le laisser là, devant elle ; « c'est un pentacle, une amulette de protection, elle porte chance », la preuve, il ne l'avait pas quitté et il avait pu retrouver son alliée la plus sacrée. « Je suis vraiment désolé d'être parti de cette façon », finissait-il par conclure, le cœur bien moins lourd mais l'esprit toujours aussi embrouillé.
AVENGEDINCHAINS


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