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FLUORESCENT ADOLESCENT, est un rpg de type vie réelle centré sur l'adolescence et la rivalité entre deux lycées. Vous avez la possibilité de jouer un lycéen, ou bien un citoyen de la ville fictive de SEOHAN dans laquelle se déroule l'action. Aucun nombre de lignes minimum n'est demandé, et un minimum de deux réponses par mois sont requises pour ne pas être en danger.
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[HOT -18] The wrong kind of love Ft. Kim Sae Young

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Jeu 4 Oct - 19:10
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the wrong kind of love
kang moon & kim sae young


« You did love me," I whispered. "Just not the same way I loved you. »

Cette fin journée n'avait pas été des plus faciles à affronter. Kang Moon détestait les fins de journée à l'école, car cela voulait dire passer deux heures consécutives en classe sans avoir de pause pour aller fumer sa précieuse herbe. Un tantinet en manque, Moon était incapable de se concentrer sur son travail en cours de science et le résultat avait été catastrophique. Plus d'une heure d'expérience scientifique ou la mixture de Moon s'était emballé avant de déborder sur son plan de travail et sur ses cahiers de notes. Il dût tout nettoyer avant de quitter la classe quand la cloche avait sonné pour annoncer la fin des cours. La première chose que fit Moon une fois à l'extérieur de l'école, ce fut de se rouler un joint et de le fumer dans un parc non loin de là en attendant qu'un employer de la maison vienne le chercher. Une fois chose faite, Moon était monté directement dans sa chambre non pas pour faire ses devoirs ou étudier, mais bien pour faire l'entretien de ses plans de pot et se défoncer la gueule. Assis en caleçons sur son lit, Moon puffait joyeusement dans son bong en forme de licorne au lieu d'étudier. Ayant passé plus d'une bonne demi-heure à consommer, la chambre de Moon s'était rempli de fumer à un point tel, il était presque impossible de voir ce qui se trouvait à l'intérieur de la pièce. Couché sur son lit en étoile pendant que son bong pendouillait au bout de ses doigts dans le vide, Moon était dans son petit monde à lui quand son petit ami était entré dans sa chambre. Il n'eut aucune réaction immédiate, car trop occuper à planer sur son petit nuage. Puis comme s'il venait tout juste de se rendre compte d'une présence dans sa chambre, Moon tourna très lentement la tête vers son petit ami et cligna doucement des yeux. « Youngi ? » À en juger l'expression perdue qui était collé sur son visage, Moon ne semblait pas comprendre pourquoi son petit ami se tenait devant lui. Mais voilà que Moon était content de le voir et souriait comme un idiot.
(c) DΛNDELION
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Jeu 4 Oct - 20:23
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The wrong kind of loveAnd at the end, I'm not even able to explain why I love you that much Pour ma part c'est un tout autre genre de manque que j'ai ressenti durant cette journée, journée qui en passant a été d'un banal à mourir. Toujours les mêmes cours ennuyeux dont je connais déjà toutes les réponses, toujours les mêmes bavardages futiles. Non, aujourd’hui, alors que la journée touchait à sa fin, j’avais qu’une seule envie ; te voir. J’sais même pas pourquoi ni comment ça se fait. Aujourd’hui j’ai juste envie de te voir. Et franchement, pour être parfaitement honnête, ça me fait chier, d’en avoir autant envie. Ça fait un moment que j’ai compris que t’étais bien plus pour moi qu’un petit chiot que je me plais à voir remuer la queue devant moi. Honnêtement je crois que je t’aime comme un dingue. Et honnêtement je crois que ça me tue. Je sais pas ce que je ferais si quelqu’un venait à découvrir qu’un sale gosse camé comme toi avait réussi à percer ma carapace et à me voler mon cœur que je gardais pourtant en sécurité, bien caché, bien enfermé. Je sais pas comment t’as réussi ce tour de force mais maintenant il tambourine à mort dès que je vois tes yeux de biche aux pupilles toujours beaucoup trop dilatées. Je sais pas ce que tu ferais, toi, si tu l’apprenais. Je suis même pas sûr que tu m’aimes. Je sais pas si c’est pas une sorte de dépendance que t’as vis-à-vis de moi. Pour me protéger je devrais sans doute mettre un terme à tout ça. Te quitter, te laisser vivre ta vie, arrêter de t’enfermer comme ça. Mais putain, j’ai tellement pas envie de te laisser partir.

Tu sais Moon, des fois je me demande ce que tu fous encore avec moi. Quand je marche pour rejoindre ton habitat, comme en ce moment, je regarde passer les couples, les vrais, ce qui ont l’air amoureux, qui font des trucs niais ensemble, qui s’embrassent tendrement devant le coucher de soleil. Et je peux pas m’empêcher de me dire que tu mérites mieux qu’un connard qui se sert de toi. Je me demande si tu serais pas plus heureux ailleurs, dans les bras d’un type qui aurait les couilles de t’aimer ouvertement. Si t’as pas toi aussi envie de faire des trucs niais, de marcher main dans la main, d’embrasser tendrement devant le coucher de soleil. Tu sais que t’auras jamais ça avec moi. Tu sais que même si t’as pris mon cœur je continuerais à te traiter comme je le fais. Parce que c’est trop déraisonnable de t’aimer comme tu voudrais que je t’aime. Et le déraisonnable me fait peur, Moon.

J’ai marché à grandes enjambées pour te rejoindre et maintenant je passe la porte sans même prendre le temps de frapper. La pièce est embaumée d’une fumée blanche nauséabonde, et rien qu’à la voir j’ai une vague idée de l’état dans lequel je vais te trouver, encore. Je soupire et claque la porte derrière moi, avançant dans la pièce à tâtons.

- Moon, t’es où ?

Ma voix résonne et s’essouffle dans la fumée, alors que je te retrouve allongé en étoile de mer sur ton lit, ton putain de bong licorne au bout des doigts. Tu sais j’ai jamais été trop d’accord que tu te mettes dans ces états, et j’crois que j’aimerais t’aider, mais j’sais pas comment. Je sais pas comment te faire sortir de cette merde. Quand enfin tu remarques ma présence, je passe mes doigts dans mes cheveux pour les tirer en arrière, soupirant longuement.

- Bordel, t’as pas fait semblant là, ça pue.

Je m’avance pour m’asseoir sur ton lit en retirant ma veste, on crève de chaud chez toi tu sais ? J’me mettrais bien à poil comme toi, mais dans ton état vaudrait mieux que je reste en état de t’emmener à l’hosto à tout moment.

- Tu devrais ralentir un peu, sérieusement
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Lun 8 Oct - 1:17
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the wrong kind of love
kang moon & kim sae young


« You did love me," I whispered. "Just not the same way I loved you. »

Je sais que tu n'aimes pas ça que je passe mes journées à me défoncer Youngi, mais j'ai besoin de me perdre dans cette brume pour survivre dans un monde que je n'arrive plus à comprendre et qui m'a beaucoup trop blessé. J'ai toujours été beaucoup trop sensible pour vivre dans le monde réel et c'est pourquoi j'ai besoin d'une échappatoire, quelque chose qui saurait engourdir tous mes sens pour que je n'ai plus à ressentir la douleur que m'infligeait mes parents qui ne se rendaient pas compte de toute cette pression que je ressentais à vouloir ressembler à cette image qu'était leur version de la perfection. À trop vouloir être quelqu'un que je n'étais pas destiné à être, j'ai fini par me perdre. Je ne sais pas si tu te souviens, mais j'ai travaillé durement pour répondre à chacune de leurs attentes. Malgré tous mon travail et mes efforts, je n'ai jamais réussi à attirer leur attention comme le faisait si bien mon frère et je crois que je n'ai toujours été que la version moins réussite de Minki aux yeux de mes parents. Je ne saurais dire quand j'ai fini par accepter cette idée. Mais je ne pouvais plus supporter ce sentiment d'anxiété qui me prenait sournoisement à la gorge chaque nuit et l'ai fait disparaitre avec la toute première chose qui m'était tombé sous la main  à ce moment-là avant que je ne suffoque.

Dis-moi Yougi, est-ce que tu te souviens de qui j'étais avant que je ne me laisse bercer par toutes cette fumée qui m'embrouille maintenant constamment l'esprit ? Je crois que j'ai des vagues souvenir, des flash qui me passe par la tête lorsque la brume commence à se dissiper de mon cerveau l'espace de quelques minutes, mais je ne sais plus si je dois me fier à ma mémoire, moi qui, depuis trop longtemps déjà, ai perdu pied avec la réalité. Toi, tu es bien réel hein ? Et comme pour m'assurer que c'est bien toi qui es assis sur mon lit avec moi, et non qu'un simple mirage que ma tête de brûler a fabriqué, je laisse tomber mon bong et vient me coller contre toi. Je ne te l'ai jamais dit Youngi, mais tu es comme une drogue pour moi et j'ai peur un jour de te voir disparaître. Je ne sais pas ce que serait ma réaction s'il s'avérait que tu n'étais qu'une autre création de mon imagination trop fertile et que je me suis moi-même inventer. J'ai besoin de ta présence comme j'ai besoin de mon cannabis. J'ai désespérément besoin de pendre au bout de cette laisse que tu tiens dans tes mains Youngi, car je me sens perdu sans. Il y a des gens qui disent que notre relation n'ai pas saine, mais pour moi, il n'y a rien qui fait plus de sens à mes yeux que ce que j'ai avec toi. Je t'aime comme je n'ai jamais aimé personne. Je t'aime à la folie Youngi et ne respire que pour être ta possessions.

Je te regarde comme je regarderais ma plus belle plantation, car c'est ce que tu ai pour moi. Je n'ai jamais rien vue de plus beau et de plus vert dans tout mon jardin, tu peux me croire. Ton parfum me rend dingue comme celle que dégage le cannabis et me colle pour enfouir mon nez dans ton cou. Je respire ton odeur et m'en enivre. « Fuck, tu sens tellement bon babe que ça me tue...» Je ronronne dans ton oreille avant de me mordre les lèvres avec envie. En cet instant, ce n'est pas la drogue qui me fait planer, mais ton odeur et le contact de ta peau contre mes lèvres. Je dépose de léger baisés dans ton coup avant d'y planter délicatement les dents. J'ai chaud et froid à la fois et mon coeur bat à la chamade. Je grogne doucement contre ta gorge et passe doucement la langue sur cette toute petite morsure que j'avais déposé sur cette peau blanche qui me donnait envie. Je me reculais ensuite pour plonger mon regard dans le tien, mes pupilles étaient dilater et noire de désir. « Je t'aime Sae, mais j'ai vraiment pas envie de discuter alors si tu pouvais fermer ta gueule...» Dis-je la voix enrouée. Sans attendre de réponse, je t'empoignais par la cravate et déposais mes lèvres sur les tiennes. Il n'était pas anormal pour moi de me montrer brutal dans mon approche lorsque j'étais défoncé. Au contraire. Quand j'étais geler comme une balle et avait envie d'affection, je n'avais pas la patience d'attendre. I want your dick, I want i now...  
(c) DΛNDELION
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Lun 8 Oct - 22:47
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The wrong kind of loveAnd at the end, I'm not even able to explain why I love you that much Je me souviens encore de ton visage de premier de la classe quand je t’ai rencontré. Tu étais encore loin de toutes ces merdes qui te bouffent aujourd’hui, et tu te mettais tellement la pression que tu faisais peur à voir. On s’est tout de suite compris, parce qu’on savait qu’on avait des cerveaux supérieurs aux autres, on s’est promis qu’on dominerait le monde un jour, tous les deux. Je t’ai promis, la première fois que je t’ai embrassé, que je te laisserais jamais tomber. Je t’ai promis, quand on s’est mis ensemble, que tu pourrais toujours compter sur moi, peu importe ce dont tu aurais besoin, je te l’apporterais. Et me voilà encore, deux ans plus tard. Toi tu as totalement changé. Tu t’es fait virer de notre école et tu t’es laissé plongé dans la drogue pour échapper à la pression que te foutaient tes parents, que tu te foutais pour égaler ton frère. Je crois que j’ai un peu détesté tes vieux quand j’ai compris pourquoi tu te tuais la santé à ce point. Tu as tellement changé que je me demande encore que c’est avec toi que je sortais y a deux ans. Si tu n’es pas une espèce de pâle copie de celui que tu étais autrefois. Mais je sais que non, c’est bien toi. C’est bien toi qui m’as toujours regardé avec ces yeux-là.

Te voilà qui te colle contre moi, et aussitôt je t’encercle de mes bras. Je pose mon menton contre ton épaule et te laisse te shooter à mon odeur ; vaut mieux que ton putain de bong, non ? Je soupire un peu, laissant mes doigts remonter délicatement le long de ton dos, du bout des doigts, dans une caresse aérienne à peine prononcée. J’étouffe un rire à ton compliment, enfouissant mon nez contre ton cou avant de faire une grimace.

- Ouais, je peux pas en dire autant de toi.

Je te laisse m’embrasser le cou et ferme les yeux, laissant échapper un léger soupire de contentement. Mes mains dévient toutes seules le long de ton dos que je connais par cœur, mais avec une légère appréhension quand même. Je sais ce que tu veux, je l’ai lu dans ton regard ; et pour être honnête, je le veux aussi. Mais tu sais, je suis toujours un peu réticent à l’idée de le faire quand t’es dans cet état. J’ai toujours l’impression de profiter d’un état de faiblesse, même si t’es le premier à me bondir dessus quand t’es défoncé. Je sais parfaitement que si je devais attendre que tu sois totalement sobre, je te toucherais pas souvent… Mais bon, un de ces jours j’aimerais quand même faire l’amour avec mon mec, et pas avec un zombie qui a la même gueule d’ange que lui. Je fronce les sourcils à tes mots et te regarde ; mais j’ai pas le temps de répliquer que déjà tu m’embrasses comme si ta vie en dépendait. J’ai toujours une espèce de frisson qui me court le long du dos quand je t’entends me dire que tu m’aimes ; j’aurais pu m’y habituer mais en fait je crois que ça me fait juste hyper plaisir de l’entendre à chaque fois. Je glisse lentement mes mains sous tes fesses pour t’allonger sur le lit, quittant en même temps tes lèvres pour te regarder droit dans les yeux.

- Putain… Tu me rends dingue, tu le sais ça ?

Sans perdre une seconde, je dénoue ma cravate d’une main d’un geste habile et l’envoie balader plus loin, puis déboutonne ma chemise pendant que mes lèvres viennent taquiner ton cou. J’ai un peu l’impression d’avoir débarqué chez toi juste pour tirer mon coup mais bon, t’es mon mec après tout, et t’avais l’air d’en avoir envie, alors ça devrait pas poser de problème, non ?

©️ 2981 12289 0
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Jeu 25 Oct - 20:19
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the wrong kind of love
kang moon & kim sae young


« You did love me," I whispered. "Just not the same way I loved you. »

Tu m'allonges sur le lit et ton regard sombre ponde dans le mien. Je me mordille la lèvre inférieure alors que tes mots atteignent mes oreilles en une douce caresse. Tu sais Youngi, le son de ta voix a toujours eu un effet dévastateur sur moi. J'ai la chère de poule et mon coeur bat à la chamade dans ma poitrine. Je perds le contrôle sur mon corps et mon esprit lorsque je suis avec toi. Je dois dire que ça me fait parfois peur d'être à ce point sous ton contrôle, mais c'est plus fort que moi et il m'a toujours impossible de reprendre pied avec la réalité lorsque tu poses les mains sur moi. Il a toujours été plus facile de m'abandonner à ton bon vouloir que de résister. Je ne suis qu'un addict Youngi. Jusqu'en faire une overdose, je succombe à chaque fois à mon désir de consommer ce qui m'a toujours fait planer pus haut que n'importe quelle drogue qui m'est déjà été donner de prendre. Je ne sais pas si tu le sais Youngi, mais tu es beaucoup plus efficace que du weed ou de l'extasie lorsqu'il est question de me faire atteindre des sommets qui, jusque là, je n'aurais jamais crue pourvoir atteindre auparavant. J'y ai goûté plusieurs fois et ne peut qu'en redemander. J'ai besoin de toujours plus Youngi parce que je suis insatiable.

Un petit sourire amusé coller sur mon visage, je te regarde te débarrasser de ta cravate et déboutonner ta chemise. J'admire ton torse quelques minutes avant d'y passer la main en une caresse langoureuse, pouvant ainsi apprécier la douceur de ta peau sous mes doigts. J'ai toujours été fasciner par tout ce qui te différencie de moi que ce soit dans un grain de beauté ou une cicatrice. Je me mordille de nouveau les lèvres lorsque tu te penches sur moi pour poser tes lèvres dans le creux de mon coup. Tu le sais que c'est mon point faible Youngi et j'en perds tous mes moyens. Je ne peux que soupirer d'aise pendant que je plonge mes doigts dans tes cheveux. J'aurais aimé pouvoir rester là sans bouger et juste apprécier le moment. Mais voilà que je n'ai pas envie de rester inerte sous toi et te laisser faire tout le boulot. Je te renverse donc d'un coup de hanche bien placé et me place au-dessus de toi. Je me penche ensuite sur toi et dépose doucement mes lèvre contre les tiennes avant d'y planter délicatement les dents. Je me recule et te regarde un sourire coquin coller sur mes lèvres qui ne demandent qu'à tout dévorer. Je me saisis ensuite de tes poignets et les places au-dessus de ta tête. « Don't move, ill take care of you... » T'ai-je gentiment ordonner de faire avant de m'attaquer à ton coup. Je n'avais plus la patience d'attendre et te dévorais comme j'aurais dévoré le meilleur chocolat qui ne m'est jamais été donné de gouter.

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