règlement annexe
groupes bottin
scénarios préliens
gestion invités
FLUORESCENT ADOLESCENT, est un rpg de type vie réelle centré sur l'adolescence et la rivalité entre deux lycées. Vous avez la possibilité de jouer un lycéen, ou bien un citoyen de la ville fictive de SEOHAN dans laquelle se déroule l'action. Aucun nombre de lignes minimum n'est demandé, et un minimum de deux réponses par mois sont requises pour ne pas être en danger.
GOLDEN KIDS
COOL KIDS
0000 pts
0000 pts
STUDENTS
CITIZENS

0000 pts
0000 pts
Le Deal du moment :
Cdiscount : -30€ dès 300€ ...
Voir le deal

 :: let's live it up :: shindo-gu - 신도 Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

I have to turn my head until my darkness goes

Invité
Anonymous
Invité
Lun 1 Oct - 21:15
Invité


Putain. Elle sait pas trop c’qu’elle fait ici, à zigzaguer entre les lampadaires usés, peu rassurée. Et puis, elle est même pas sûre, information qu’elle a eu un mal de chien à soutirer, parce qu’ils peuvent plus se parler. Faut bien que les bouffons d’intermédiaires servent à quelque chose, de temps à autres. Parce qu’elle peut plus lui parler. Qu’elle veut plus lui parler. Ou qu’elle sait plus comment lui parler. Depuis la rentrée, leurs dos tournés quand ils n’ont jamais été que côte à côte. Dans le ciel, c’est les étoiles qui dansent depuis un p’tit bout de temps dans l’encre de la nuit et quand elle s’aventure dans la boutique, y’a cette petite cloche miteuse qui tinte pour annoncer la venue de l’étrangère. Elle monte quelques marches comme si c’était le festival de Cannes – moue de dégoût apporté sur un plateau d’argent en surprise tout de même, s’il vous plaît. Elle colle pas avec le décor, ça suinte de chaque parcelle de son être, du parfum qui empeste la bourgeoisie aux perles paradant au cou qui hurlent qu’elle fait pas partie d’ce monde. Qu’elle a rien à faire d’ce côté de la barrière. Et elle s’y pointera plus jamais, par ici, la crasse qui n’en est pas réellement pour d’autres lui donne envie d’se faire un masque illico presto en rentrant chez papa pour gommer ne serait-ce que l’aura déplaisante que dégagent ces paysans. "Lee Kairos ?" Nez retroussé, la gamine qui lui fait face, pas plus vieille qu’elle, arque un sourcil et la toise. C’est un moqueur qui vient étirer ses lèvres, parce que bon sang, c’est l’hôpital qui s’fout de la charité, s’faire décortiquer de la tête aux pieds par la plébéienne du coin de rue, très peu pour elle. "T’es capable de répondre ou on t’as arraché la langue parce que t’étais pas foutue de payer ta dose de pilules quotidienne ?" Elle croise les bras, incline légèrement la tête dans l’attente d’une réponse. Puis, comme par enchantement, y’a des pas qui résonnent pas loin et quand elle détourne le regard, ses pupilles se vrillent sur la silhouette familière du frère d’antan. En quelque pas, elle s’avance dans sa direction, désigne l’incapable supposée accueillir les clients d’un vaste geste de la tête, dédaigneuse. "Elle est muette ou juste totalement arriérée ?" Mais plus versatile et changeante, y’a pas, alors elle ajoute sans plus attendre : "bon, tu vas me dire c’que tu fiches ici ? C’est quoi ?" Elle croise les bras, hausse les épaules. "Une crise de la quarantaine sauf que tu nous la fait à dix-huit ans ?" Elle marque une pause, parce que vaut mieux se taire qu’exploser. La boucler et simuler que tout va pour le mieux. Pour peu, elle pourrait presque y croire.
code by belle âme
Invité
Anonymous
Invité
Mar 2 Oct - 12:26
Invité


il nage dans la dangerosité. le luxe du passé oublié, il se perd dans les bas quartiers en quête d'aventure nocturne. il enchaîne donc ses journées ainsi, la journée jouant l'élève modèle, l'uniforme bien repassé et quand vient la nuit, il vagabonde dans les rues mal famées. parfois, il n'est là que pour se retrouver dans sa solitude, loin de tout et n'importe qui. parfois, il vient ici seulement, l'aiguille en main pour offrir de son art de peau aux rebelles de la ville, simplement par plaisir de créer, ou par plaisir de la chair, sur un commun-accord. puis ce soir, il venait à se retrouver au milieu de cette pseudo boutique, qui au final, n'était qu'un squat parmi tant d'autre dans le coin. besoin de décompresser et de ne pas sentir la luxure partout où qu'il aille, il se plonge au milieu de cette population délaissée et écœurante pour bien des têtes. c'est alors que Kairos, affalé sur ce canapé miteux, entend cette voix bien familière raisonner au loin. il roule des yeux avant de quitter le meuble pour s'aventurer vers cette potentielle altercation. "je m'en occupe." s'exclama t-il dans un calme presque déroutant. la belle demoiselle s'éclipse alors, lui offrant un sourire bien particulier alors qu'il vient à reporter son attention sur cette soeur qui n'est pas. "je peux savoir ce que tu viens foutre dans ce quartier ?" légère colère qui s'installe entre ses lèvres. milles et une vision d'horreur caresse son esprit à l'idée de ce qu'il aurait pu arriver à sa douce. "pourquoi t'es chiante comme ça ? tu peux pas juste rester dans ton cocon doré ?!" la voix s'élève, ce qui attire l'attention de ses compagnons nocturnes non loin derrière. il saisit le bras de sa belle et la pousse finalement jusqu'à l'extérieur du bâtiment. "eunae sérieusement ! tu te pointes ici en pleine nuit comme une fleur et encore c'est moi le problème ?!" il ne comprenait pas. ou plutôt si, mais loin de lui l'envie de jouer l'être compréhensif lorsqu'on venait s'adresser à lui d'une telle façon. "t'es frustré ? t'as rien à te mettre sous la dent alors tu viens me faire chier ? qu'est-ce que ça peu te foutre de savoir ce que je fais, avec qui le fais et où je suis putain ?" éternel solitaire et cela malgré son attachement particulier pour la jeune cadette. il ne voulait rien devoir à personne et cherchait parfois à se retrouver seul, loin de tout ce qu'il cherche à fuir depuis bien des années. le temps de seulement se retrouver, respirer et voir de nouveaux horizons.
code by belle âme
Invité
Anonymous
Invité
Mar 2 Oct - 15:47
Invité


Je m’en occupe. Elle peut pas s’empêcher d’arquer un sourcil, elle sait pas trop si elle est plus outrée que blessée, ou plus blessée que scandalisée. Comme si elle n’était jamais qu’un désagrément passager, une épine douloureuse qu’on retire du pied en deux temps, trois mouvements. "Qu’est-ce que je fous ici ?" Elle sent la colère qui grimpe sournoisement jusqu’au cœur, c’est un peu comme des vignes qui viennent enserrer la façade d’une maison, c’est le même schéma qui se produit, mais c’est autour de son palpitant que ce mauvais sentiment s’accroche désespérément. "Qu’est-ce que toi, tu fais dans ce quartier ?" Parce que si y’a une chose dont elle est certaine, c’est qu’il n’appartient pas plus à cet endroit qu’elle. Du moins, c’est ce qu’elle se dit, parce qu’elle est incapable de le voir autrement que comme le petit prince avec lequel elle a été élevée. C’est trop difficile de ne serait-ce qu’imaginer qu’il parvient à se complaire dans cet endroit lugubre. Et c’est pas suffisant, parce qu’il élève la voix et qu’elle se sent un peu plus fébrile, touchée en plein cœur, l’amertume se développe et lui noircit les idées. "Mon cocon doré ?" C’est la meilleure de l’année. Il la traîne à l’extérieur et une fois sur le pavé, elle se dégage de son emprise, relève le menton pour le toiser de la tête aux pieds. "Notre cocon doré, tu veux dire ?" D’un geste de l’index, elle désigne un petit lien invisible entre eux deux. Un lien qui se rompt un peu plus au gré des secondes qui s’écoulent, déjà endommagé sans même qu’il ne semble s’en rendre compte par un lot de décisions qu’elle juge inadéquates. Elle est persuadée qu’il peut pas faire ça. Qu’il n’a pas le droit de tout balayer d’un revers du bras, leur environnement qu’elle trouve si plaisant, leur relation, par extension. C’est sans doute un peu égoïste, mais elle s’en rend pas compte, reine de l’égocentrisme de la ville parmi tant d’autres. "Frustrée parce que je te comprends pas !" Elle aussi, élève un peu la voix, maintenant et au fond de ses grands yeux accusateurs, y’a une flamme qui s’allume et risque de déclencher un brasier sous peu. Passer de tout à rien, quelle absurde idée. "Alors c’est ça, le problème ? T’as décidé du jour au lendemain de tout quitter, de m’envoyer bouler et moi, j’dois attendre sagement que tu décides ou non de revenir ?" C’est ridicule. "Tu peux pas renier ce que tu es", lui fait-elle remarquer avant de désigner l’alentour insalubre d’un vague geste de la main désintéressé, en petite snobinarde qu’elle sait être. "C’est pas plus ton univers que le mien !" Elle marque une pause, le temps d’inspirer une bouffée d’air frais et en quelques syllabes, elle laisse échapper une supplication dont il sera à jamais le seul témoin. "Tu veux pas revenir à la maison ?" Elle sait pas trop comment lui dire qu’il lui manque, qu’elle a sans doute un peu trop peur qu’il décide de lui tourner le dos définitivement pour embrasser une nouvelle vie qu’il semble préférer à l’ancienne, et dont elle ne fait pas partie.
code by belle âme
Invité
Anonymous
Invité
Mar 2 Oct - 16:59
Invité


les minutes défilent, les mots fusent et la peur fait rage. comment kairos peut il expliquer à celle qui l'a toujours connu comme le petit prince, comme l'enfant doré, qu'il n'est en réalité qu'un pauvre pommé qu'on a volé et manipulé durant toute sa vie ?  comment expliquer que tout n'est que mensonge ? sous un clair de lune princier, kairos serre le poing face aux paroles presque sanglantes de la belle brune. il se sentait incompris et si en temps normal, il aurait passé outre ce détail, cette fois-ci, il n'en fut que d'avantage blessé car oui, cela venait d'une soeur, peut être pas de sang, mais d'âme. cela venait de cette personne qu'il chérissait tant et à qui il avait eu l'impression de mentir durant longtemps. si il y a peu, il reniait sa richesse seulement par fierté d'être qu'un garçon débrouillard, depuis peu, bien des choses le pousse à renier d'avantage cette vie pavée d'or. "je suis chez moi ici, plus que toi tu ne l'es." la froideur des mots, l'amertume qui se glisse dans sa voix et qui ne cesse de fourvoyer son âme de milles et un coup violent et secs. il plante son regard dans celui de la cadette et si l'une possède le feu fougueux, lui possède la noirceur des enfers. "ça n'a jamais été le miens eunae ! jamais putain !" enfant de château malgré lui, seulement réduit au statut de pauvre malgré l'argent toujours présent. il ne fait que saigner car son âme ne cesse d'être tourmentée. "renier ce que je suis ? et je suis quoi eunae ? hm ? je suis quoi putain ?! moi même je sais même plus ce que je suis dans ce putain de monde et toi tu pointes avec tes tirades et tu crois que tout s'arrangera en quelques mots ?!" difficile d'avouer qu'il n'est et n'a jamais ce petit prince. difficile d'avouer qu'on lui a retiré une vie qui aurait dû être sienne en dépit de l'un qu'il n'a jamais voulu. "je veux pas revenir. je veux pas retomber dans ce gouffre où vous êtes. je veux pas me retrouver dans son monde à lui." lui. le père qui ne l'est pas réellement. l'assassin d'une mère. le montre qui n'a fait que le briser lui et son frère. qui aurait cru que sa vie serait si chaotique et dramatique ? personne. pas même elle. "il y a qu'ici que je me sens bien. il y a qu'ici que je me sens en paix et ça personne le voit.. pas même toi." surtout elle. elle qui aurait du remarquer ce mal être. elle qui aurait dû se douter que derrière le meurtre d'une mère, se cachait un mensonge bien plus gros encore.
code by belle âme
Invité
Anonymous
Invité
Mar 2 Oct - 22:52
Invité


Elle le sent, soudainement, que le vent va tourner, que cette conversation va se transformer en concours improvisé et que ça sera sans aucun doute à celui qui blessera le plus l’autre. Parce qu’il est chez lui dans ce coin miteux dont certains veulent s’évader, quand lui préfère y rester et qu’elle refuse de l’admettre par simple égoïsme. Qui voudrait appartenir à cet univers délabré ? Elle a presque envie de le secouer jusqu’à-ce que ses neurones émettent à nouveau des connexions et qu’il se remette à réfléchir convenablement. Mais cette violence, ces terribles émotions qui l’animent et lui font élever une nouvelle fois la voix, ça a le don de la désarmer, alors elle ouvre la bouche pour rétorquer quelque chose, n’importe quoi, mais rien ne sort. Elle reste là, aussi muette qu’une tombe à l’observer et la pièce finit par tomber, parce qu’elle comprend qu’elle ne le fera pas changer d’avis. Qu’il y a quelque chose qui s’est brisé et qu’il veut pas le réparer. Ou qu’il le veut, mais pas de la façon dont elle le voudrait. "Je crois que rien ne s’arrangera parce que tu ne le veux pas !" Elle va s’époumoner, en perdre la respiration, voir des étoiles, mais elle s’en fiche. Elle a ce besoin, presque viscéral, de se battre contre lui, alors que c’est avec lui qu’elle devrait le faire, à ses côtés et pas en adversaire. Mais ça elle le comprend pas, trop blessée, il a visé pile en plein orgueil et ça, ça ne lui réussit pas, à Eun ae. "T’es aveugle ou quoi ?" Il doit forcément l’être, comme elle l’est. "Tu fais que fuir, bon sang !" Et d’un geste de la main, elle désigne l’endroit insalubre où il se cachait avant qu’elle vienne le dénicher, l’obliger à sortir de sa caverne pourrie. "Tu crois que tu fais quoi, là ? Que t’es occupé à vivre la vraie vie parce que t’as décidé de te la jouer pauvre, l’espace de quelques temps ?" Et ça va déraper. Bordel. Elle s’était pointée ici avec l’intime conviction qu’elle parviendrait à calmer son sang froid, qu’elle pourrait le résonner à coups de sentiments et de culpabilité. Raté.

Mais il a les mots, Kai. Ceux qui lui donnent l’impression de recevoir une claque en pleine figure. Blessant et affligeant. Alors, elle se calme à nouveau, même si à l’intérieur, c’est un ouragan et que son cœur bat tellement fort dans sa poitrine qu’elle est persuadée qu’il peut l’entendre. "C’est pas parce que tu te retrouves dans son monde que vous êtes semblables, Kai." Et elle sait pas trop qui elle essaye de rassurer et convaincre au passage, lui ou elle ? Parce qu’il l’a touchée, qu’elle a soudainement l’impression de pouvoir ressentir les sentiments qui l’animent. Ou de pouvoir les imaginer, du moins. "On pourrait t’aider aussi, si seulement…" Elle lève les yeux au ciel et pince les lèvres, parce qu’elle sent que les émotions prennent le dessus. Et surtout parce qu’elle sent que la situation prend une direction opposée à celle qu’elle désirait. "Si seulement tu nous laissais nous approcher pour de vrai, plutôt que de t’enfermer et de.." Elle lève les bras en signe d’impuissance, parce qu’elle sait même pas comment formuler son comportement. "De te couper de tout." D’elle. Les autres, elle s’en fiche.
code by belle âme
Invité
Anonymous
Invité
Jeu 4 Oct - 13:57
Invité


il l'aimait bien plus que n'importe qui. elle était presque comme la chair de sa chair, le sang de son sang et pourtant, en cette nuit des plus humides, sous ce clair de lune presque assassin, kairos la haïssait de toute son âme. il se savait fautif de son mal être, au fond, elle avait raison de lui en vouloir. mais derrière tout cela, restait en suspend le manque d'attention de la belle face aux absences répétés du vieux. elle qui ne pouvait comprendre cette haine qui alimentait kairos. elle, qui ignorait la présence d'un frère depuis presque un an, dans la vie du tatoueur. elle qui ne se doutait guère qu'il devait s'occuper de son cadet, le choyer, l'aimer comme personne n'avait pu le faire avant lui. elle ne savait rien et se contentait de juger le comportement peu commun de ce prince de bourgeoisie. tout ne faisait que dégoûter l'artiste, qui pendant quelques secondes se plongea dans un certain silence pour mieux rebondir dans sa colère. "j'ai des putains de responsabilité ! c'est normal que je fuis parce que ça ne regarde personne, pas même toi !" d'un commun-accord avec son cadet, kairos avait juré ne jamais parler de ce lien fraternel qui les liaient l'un à l'autre. ils se contentaient d'agir comme deux meilleurs amis bien trop fusionnel lorsque les regards se posaient sur eux. kairos ne cessait de couvrir le cadet, ne cessait de sombrer dans l'oublie pour protéger sa propre histoire, mais aussi celle de son frère car il savait que leur entourage n'en serait que plus curieux en apprenant le lien qui venait à les lier l'un à l'autre. "le fait de savoir que mon père a tué ma mère ne te donne aucun droit sur moi eunae. pas plus maintenant qu'avant." le lien se brise. la relation volant en lambeau sous les cris des deux amis. kairos d'en démord pas, tout comme la jeune femme. "tu ne sais rien. tu ne sauras jamais rien, donc cesse de te croire tout permis." l'avertissement qui réveille en lui, le démon qu'il peine à voiler sous cette gentillesse habituelle.si sa relation, aussi éphémère qu'elle puisse être avec blue, lui avait bien apprise une chose, c'était de réveiller le diable, au besoin. n'est-ce pas là ce qui faisait de ce couple d'antan, un couple d'amants redoutables ? blue et kairos, régnant tous deux sur les enfers. "j'ai pas besoin d'aide. j'en ai jamais eu besoin et tu le sais très bien. toute ma putain de vie, je l'ai construite de mes mains, sans l'aide de personne." éternel solitaire, cela ne datait pas d'aujourd'hui. déjà enfant, il restait lunaire, loin d'être terre à terre et ouvert aux autres. ainsi, il crachait son venin au visage de sa cadette, cherchant à lui faire comprendre que ses paroles n'auront aucune force face à la détermination qu'il pouvait avoir. "je me coupe seulement de ce qui peut être dangereux pour moi et pour quelques personnes." le frère qu'il cache derrière une amitié. protégé contre vents et marrées, y compris par ces amitiés dorés qu'il entretenait depuis qu'il savait marcher. ce même frère qu'il avait lui même intégré à ce groupe de privilégier, sans que personne ne se doute de ce qu'il en était réellement. "je te le redis eunae, retourne de là où tu viens et ne mets plus jamais les pieds ici. c'est pas un endroit pour toi." lui, bien plus à l'aise en ces lieux. certainement plus que la poupée de porcelaine face à lui, aussi fort que puisse être le caractère de celle-ci, il la savait pourtant bien fragile, en dépit de tout ce qu'elle pouvait dire. il était, lui, fautif de ce rejet violent qu'il imposait à son entourage. sentence obligatoire pour préserver sa seule et véritable famille.
code by belle âme
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
FLUORESCENT ADOLESCENT :: let's live it up :: shindo-gu - 신도-
Sauter vers: