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FLUORESCENT ADOLESCENT, est un rpg de type vie réelle centré sur l'adolescence et la rivalité entre deux lycées. Vous avez la possibilité de jouer un lycéen, ou bien un citoyen de la ville fictive de SEOHAN dans laquelle se déroule l'action. Aucun nombre de lignes minimum n'est demandé, et un minimum de deux réponses par mois sont requises pour ne pas être en danger.
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primadonna girl

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Invité
Anonymous
Invité
Sam 29 Sep - 21:08
Invité
LOLITA
skipping heart beats with the boys downtown

élitiste
ambitieuse
arrogante
compétitive
confiante
attentionnée
influente
réfléchie
hautaine
cynique
 
personnage inventé
ft kim so-hyun
my id card

nom et prenom : lettres mordorées, frappées d'un prestige octroyé aussitôt l'enfant né. Ichor doré, les dieux d'antan sont encore bien présents. Devenus humains, ils toisent les plus démunis et les Choe en font partie. Eun ae, brillante, qui illumine, à la hauteur d'un patronyme qui, si lourd a porter, lui sied pourtant au teint.
âge : fraîche jeunesse, gamine aux airs de dame empruntés à une reine mère confortablement installée sur un piédestal. Dix sept ans, à peine.
date + lieu de naissance : la grande ville pour une lady, aile privée d'une clinique de Séoul où papa et maman ont brandi le chérubin bien haut. Une héritière pour mai (13), la beauté du monde qui s'éveille et le cœur de deux titans qui fond comme neige au soleil.
nationalité(s) + origine(s) : coréenne, avec quelques origines chinoises du côté de maman, dont la famille réside toujours à Harbin.
situation financière : faut croire que c'est l'argent qui fait tourner le monde. Ou c'est juste le sien qui gravite autour des billets ? Elle sait plus trop, dans l'fond.
métier, job, études : lycéenne du privé, future monarque qui parade à la Cour le temps d'une scolarité poussée. Première altercation, première scission entre papa et celle qu'il a toujours élevé au rang de princesse ; c'est pas l'économie, mais les sciences qui sont choisies, pousse un peu plus ses compétences en biologie et chimie, parce que c'est la voie de la matriarche qu'elle décide de suivre. Et parce qu'il faut bien blesser papa, un peu plus chaque jour, comme si la ressemblance alarmante avec l'envolée n'était pas suffisante, elle doit être le fantôme de son passé et ne pas obtempérer.
situation familiale : y'a papa, y'a maman et y'a un nom qu'on refuse longuement d'entacher,. Y'en a un qui s'enracine, l'autre qui comprend bien vite qu'si elle veut respirer, elle doit se tirer. Rôles inversés, c'est mommy issues, par ici., parce que les cartes qu'elle reçoit de l'autre bout du continent aux effigies des océans étudiés minutieusement, tout juste à temps pour fêter ses huit, dix, douze ou dix-sept ans, c'est pas suffisant.
situation civile + orientation : y'a qu'un garçon pour soulever son palpitant, mais qui peut se vanter d'avoir eu l'occasion de toucher sainte eun ae , amoureuse de l'idée d'être plus insensible qu'intouchable.
signe(s) particulier(s) : cicatrice au genou droit, chute en rollers. Bleus et hématomes qui recouvrent quotidiennement le corps d'une gamine aux entraînements acharnés, la glace est impétueuse.
groupe : golden kids
 
ice skating, oceans, mom, studies, biology class, rich kids squad

Moue moqueuse, sourire cynique et bras croisé, posture exécrable – des magazines de sciences, biologie marine et économie au pied du lit – du chocolat chaud à la place du café, encore enfant malgré elle – un sac à dos et une paire de chaussures chaque jour différent.e – un uniforme qui lui donne l’air encore plus cliché – un regard froid, une mine hautaine – un capitalisme qu’elle remet en question, mais dont elle est victime – l’écran de téléphone parfaitement intact, contrairement à beaucoup – un bracelet à breloques qui pend autour du poignet – des lettres et cartes d’anniversaires qu’elle garde précieusement dans une boîte sous son lit – des perles au cou dont elle raffole – des livres qu’elle n’a pas toujours le temps de terminer – des patins d’un blanc éclatant qui pendent à la porte de sa chambre – un golden retriever plus heureux de la voir au retour des cours que son père.


the story of my life : o1. ⊱ Complexe d’infériorité longuement masqué, c’est papa qui précipite la gamine du haut du piédestal sur lequel il l’a toujours hissée – hors de question que son héritière faille à la tâche. Reine en devenir, elle ne peut qu’être à la hauteur des attentes qui incombent à la descendance de Monsieur. Et plutôt trépasser que de laisser un nouvel écart de conduite venir faire flancher le tableau familial qu’on a toujours voulu idyllique. Le départ de maman la fait à peine sourciller, bien encadrée, pas un pied de côté – parce qu’il y a une époque où elle idolâtre pas maman, ne limoge pas papa, enfant gâtée, achetée. Le réveil est brutal et c’est vers lui qu’elle pointe un doigt accusateur. Après tout, s’il n’avait pas été lui, plus amoureux de son job que de son épouse, elle serait toujours là. o2. ⊱ Des grosses fortunes, les voitures de collection, montres d’éditions limitées, des perles autour du cou, des Richelieu que papa fait importer de Londres, des bagues Tiffany’s et des diamants aux oreilles. Les Choe soufflent sur la Corée, s’étendent mondialement depuis des années, les concurrents s’effondrent aussi sûrement qu’un château de cartes. Chimie, industrie, finance, construction et hôtellerie ; les domaines sont variés, tout c’qui est demandé, c’est d’y exceller sans s’en détourner, c’est pas plus compliqué. Les chiffres se comptent en milliards par domaines, les comptes en banques fleurissent peut-être un peu trop pour qu’ce soit sain, mais qui s’en préoccupe réellement ? o3. ⊱ C’est le patriarche qu’on retrouve en Une de revues économiques, la fibre du business, les doigts magiques qui rendent jaloux, donnent envie. Il prêche la bonne parole, prône des conseils qu’il peine à appliquer – comment combiner la fonction du père célibataire de l’année et celle de magnat grimpant en flèche. C’est pas ses exploits à lui, qu’elle lit, grande insensible alors qu’il fait son possible. C’est les bouquins que maman rédige, qu’elle dévore, c’est les revues de biologie marine qui s’étalent au pied de son lit à baldaquin, remplaçant celles d’économie depuis quelques mois, déjà. C’est maman qui connaît les exploits, qui touche la fosse des Marianne et qui s’évertue à protéger les océans, leurs habitants. Oui, elle protège pendant que lui piétine, alors c’est des regards réprobateurs dont il écope, des portes qui claquent et des reprochent qui s’entrechoquent et font trembler la demeure. o4. ⊱ C’est pas suffisant. C’est forcément pas suffisant, qu’elle soit cloîtrée dans une ville minable pendant que sa mère écume les océans. Y’a un jour où elle fouille dans les tiroirs de papa après de l’argent de poche, tombe sur un paquet de lettres jaunies, jamais ouvertes. C’est son nom, qu’elles portent, alors quand il la surprend, elle a beau lire toute la tristesse du monde dans ses yeux, ça lui fait rien. C’est un trou béant à la place des sentiments. C’est des lettres qu’elle découvre, enfermée à double-tours dans une chambre bien trop grande pour une seule personne – les péripéties personnelles de maman. Celles qu’elle ne conte pas ses livres. Celles qu’elle avait réservées à sa fille chérie, qui n’ont trouvées leur destinataire que des années plus tard à cause de l’égocentrisme d’un patriarche à l’orgueil blessé, lacéré. C’est qu’un fossé de plus qui se creuse entre père et fille, après tout. Elle sait, maintenant, qu’il pourra toujours courber l’échine, se plier en quatre pour se racheter, rien ne sera jamais suffisant pour le monstre qu’il a crée de toute pièce. o5. ⊱ Elle a rarement le temps de s’amuser, on lui fait souvent comprendre qu’elle oublie un peu de vivre, à cause de ce besoin de supplanter le monde, désir ardent d’être à la hauteur. Alors, elle a trouvé un moyen pour se changer les idées, décharger la douleur qui enserre chaque jour un palpitant qu’elle nie posséder ; avant une compétition ou un examen, après une dispute avec papa, quand la colère s’immisce sournoisement, elle diminue autrui pour être mise sur le devant de la scène. Se sentir exister. Juste un peu. Mean girl. De bien grands mots pour les petites piques qu’elle lance, pour les croche-pieds qu’elle fait à la dérobée et les humiliations constantes dans les couloirs, adossée au mur entre deux affiches contre le harcèlement scolaire. C’est la loi du plus fort, c’est pas elle qui établit les règles, après tout. C’est universel. o6. ⊱ Elle brille, même quand elle explose, ça a quelque chose de poétique, parce qu’elle fait partie de ces filles qu’on adore détester, ces filles qui savent, qui plus est, qu’on admire leur prestance, qu’on envie leur charisme. Ces filles qui réussissent ce qu’elles entreprennent, qui claquent des doigts avec négligence et qui obtiennent, un jour sourire, un battement de cils. Elle plaît, Eun ae, on recherche sa compagnie, encore et encore, parce qu’elle est plus que cette gosse de riches hautaine – on peut la trouver chouette sans qu’elle ait besoin de faire le moindre effort, drôle et impétueuse. Elle n’a d’yeux que pour les mêmes personnes, pourtant, dédaigne les autres. Une petite bande qu’elle fréquente depuis toujours, qu’elle aime depuis toujours. La bande la plus exécrable qu’il soit possible de rencontrer, princes et princesses imposants, à l’ego surdimensionné et bouffé par un manque quelconque, peu importe la forme qu’il revêt, il est toujours aussi vicieux. o7. ⊱ On pleure pas, chez les Choe, on apprend rapidement que c’est inutile, qu’il y a une multitude d’autres choses à faire que de se laisser aller de la sorte. C’est pas facile, au début, genoux écorchés, cœur balafré par une absence maternelle – peu importe l’endroit où elle pose les yeux, c’est le manque qui lui saute au visage. Mais elle apprend. Elle est douée pour apprendre facilement. Elle imite papa et sourit beaucoup, le plus faussement possible, elle parle encore plus, fait la conversation et connaît un tas de choses sur pleins de sujets différents, parce que tout l’intéresse ; des sujets les plus futiles aux plus compliqués. Elle a les yeux qui pétillent facilement, aussi et derrière le sourire, c’est un gouffre qui se forme. Toutes les émotions y tombent les unes après les autres et forcément, y’a une montage qui se forme. Parfois y’a un tremblement et tout s’effondre – il lui faut qu’une nanoseconde pour s’enflammer et tout détruire, un véritable brasier, elle ravage tout sur son passage et tant pis pour les répercussions. Déshumanisée par des billets, marionnette bien articulée par papa, elle ressent à peine la déflagration causée par les dégâts qu’elle engendre. L’impassibilité à l’état pur et brut, c’est que du haut d’une tour d’ivoire, on ressent à peine les grondements du bas. o8. ⊱ La glace est dure, impitoyable et les patins tranchants. Ils en rigolent beaucoup, parce qu’après tout, Eun ae et le patinage se sont bien trouvés. Petite fille plantée devant la télévision un dimanche soir, quand papa est enfermé dans le bureau, elle observe les pirouettes et arabesques qui se dessinent sur le grand écran. Elle aime ça. Vraiment. C’est pas pour faire plaisir à papa. Pas pour devenir comme maman. C’est elle. C’est du temps libre qu’elle sacrifie au profit d’entraînements acharnés tard le soir, c’est des révisions qui ont lieu dans les vestiaires pendant qu’elle se prépare ou sur le bas côté, pendant qu’elle attend son tour à un concours. C’est la discipline libératrice qu’elle épouse à la perfection – pour laquelle elle est née. L’étoffe d’une championne, son nom qu’on scande dans les gradins et le cœur qui s’envole le temps de quelques instants. "Grasshoper" dont elle écope pour les sauts périlleux qu’on admire. C’est son élément, peut-être même plus que la biologie, même si elle refuse de l’admettre. o9. ⊱ Elle est tombée sur cette vidéo YouTube. Une gifle. Peut-être même deux. Elles sont peu nombreuses à oser dénoncer, à demander de s’éveiller. Féminisme, l’insulte du siècle et de ceux d’avant, qui lui fait d’abord arquer un sourcil. C’est qu’on en parle si peu. Des recherches qui s’enchaînent, des normes qu’elle finit par remettre en question et ça se termine par papa qui sort la pince en argent de la poche de son tailleur fait sur mesure – faut bien cracher quelques billets pour effacer ça du dossier. Un nez brisé pour un commentaire déplacé, y’a tout un réseau à démanteler et un nombre restreint de personnes qui le comprenne. C’est la déception qu’elle lit dans le regard de son père qui la déstabilise le plus, quand elle pensait être immunisée. C’est de nouvelles disputes, l’orage qui stagnent au-dessus de la maison, son esprit en ébullition. Y'a ce petit sourire moqueur qu'elle arbore, qui le met hors de lui, parce qu'il sait ce qu'il annonce "oh, mais c'est que le début, pap's", et dans son regard, danse l'horreur d'avoir fait de sa fille cette gamine révoltée. 1o. ⊱ Paraît que sa personnalité se rapproche dangereusement de celle des control freak, par moments. C'est vrai qu'elle peut être aussi légère et étourdie que méticuleuse. Le hasard la désarme, elle préfère ne pas croire au karma. La simple idée qu'une chose nommée le destin puisse exister la déstabilise, la fait trembler. Alors elle préfère clamer haut et fort qu'elle ne croit pas à ces idioties, qu'elle est trop rationnelle pour ça.

Primadonna girl, yeah
All I ever wanted was the world
I can't help but I need it all
The primadonna life, the rise and fall
You say that I'm kinda difficult
But it's always someone else's fault
Got you wrapped around my finger, babe
You can count on me to misbehave

c'est kdo pour ceux qui passent par ici et l'auront en tête après

primadonna girl 3324626172  
Invité
Anonymous
Invité
Sam 29 Sep - 21:08
Invité
mtnt on sait tous que j'suis une grosse flemmarde

primadonna girl 1121410147

//
Invité
Anonymous
Invité
Sam 29 Sep - 21:09
Invité
emeline d'ILH? si non, je suis désolée! primadonna girl 4167631273
bienvenue belle femme! primadonna girl 4107343617
Invité
Anonymous
Invité
Sam 29 Sep - 21:11
Invité
ILH? je crois pas, non, je connais pas. primadonna girl 3844638950 primadonna girl 3844638950

merciii, trop adorable. I love you
Invité
Anonymous
Invité
Sam 29 Sep - 21:12
Invité
ah, excuse-moi alors! primadonna girl 3222885561
hisakawa yuki
hisakawa yuki
my friends and i we got a lot of problems. administratrice
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→ arrivée :
18/09/2018
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na jaemin + sunflower
→ double compte :
ji chaewon + shin hani
Sam 29 Sep - 21:15
hisakawa yuki
BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE primadonna girl 4107343617 primadonna girl 4107343617 primadonna girl 1374227180
Invité
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Invité
Sam 29 Sep - 21:30
Invité
Chung Suyeon a écrit:
ah, excuse-moi alors! primadonna girl 3222885561

désolée de cette déception primadonna girl 3222885561

Hisakawa Yuki a écrit:
BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE primadonna girl 4107343617 primadonna girl 4107343617 primadonna girl 1374227180

MERCIIIIIII primadonna girl 2808455090 I love you
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Sam 29 Sep - 21:37
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marina and the diamonds dans le titre primadonna girl 154076197 primadonna girl 154076197 primadonna girl 154076197

bienvenue et j'espère que tu te plairas parmi nous primadonna girl 4107343617
hisakawa yuki
hisakawa yuki
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Sam 29 Sep - 21:37
hisakawa yuki
juste excuse moi je vais paraître pour une imbécile mais choe c'est le nom de famille de ton perso? si c'est le cas tu pourrais inverser l'ordre pour que ce soit nom + prénom s'il te plait ? sinon ignore moi ajdjsjss primadonna girl 4107343617
Invité
Anonymous
Invité
Sam 29 Sep - 21:41
Invité
Choi Yerin a écrit:
marina and the diamonds dans le titre  primadonna girl 154076197  primadonna girl 154076197  primadonna girl 154076197

bienvenue et j'espère que tu te plairas parmi nous  primadonna girl 4107343617

marina, cette déesse. primadonna girl 1092345467
merci beaucoup chaton. primadonna girl 154076197

Hisakawa Yuki a écrit:
juste excuse moi je vais paraître pour une imbécile mais choe c'est le nom de famille de ton perso? si c'est le cas tu pourrais inverser l'ordre pour que ce soit nom + prénom s'il te plait ? sinon ignore moi ajdjsjss primadonna girl 4107343617

fzihgzghreigbezjkrgnl
ooooops, my bad. primadonna girl 1092345467
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