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FLUORESCENT ADOLESCENT, est un rpg de type vie réelle centré sur l'adolescence et la rivalité entre deux lycées. Vous avez la possibilité de jouer un lycéen, ou bien un citoyen de la ville fictive de SEOHAN dans laquelle se déroule l'action. Aucun nombre de lignes minimum n'est demandé, et un minimum de deux réponses par mois sont requises pour ne pas être en danger.
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elle ne t'aime pas |Song Nari

Invité
Anonymous
Invité
Dim 28 Oct - 13:46
Invité
elle ne t'aime pas
https://www.youtube.com/watch?v=l7OOU5mV4n4

jalouse
mesquine
mauvaise
provocante
mélancolique
colérique
libre
infidèle
désenchantée
pitoyable
 
personnage inventé
ft park kyung ri
my id card

nom et prenom : song nari
âge : 16 ans
date + lieu de naissance 28 Octobre > Seohan
nationalité(s) + origine(s) : Only korean
situation financière : Difficile. Son père est un salarié lambda, cloîtré à longueur de journées dans un bureau lui-même perdu au milieu de dizaines, de centaines de bureaux, tous les uns collés aux autres, dans l'anonymat le plus total.   Le téléphone sonne sans arrêt et les piles de papiers grossissent. Mal payé, et triste. Sa mère fait des ménages par ci par là. L'argent passe principalement pour les études supérieurs de l'aîné, la fierté des Song et dans les médicaments d'une grand-mère diminuée.
études : Junior > Filière arts plastiques option menuiserie.
situation familiale : triste et grise famille qui tourne autour de l'aîné de la famille, jalousie intempestive de la part de la cadette. S'occuper d'une grand-mère incontinente, qui ne sait plus parler et qui ne vous reconnaît pas lorsque vous lui parlez ou ne réagit plus, ne se souvient pas de votre nom. Désenchantement. Indifférence générale. Le sentiment d'être la pièce rapportée qui passe après la vieille morte, et qui se fane sous l'ombre de son frère.
situation civile + orientation : Infidèle, batifole de garçons en garçons, décomplexée ou détraquée, tantôt fille facile, tantôt revêche, elle connaît par coeur les mécanismes du corps. Et les rumeurs disent que Nari suce des bites.
signe(s) particulier(s) : s'est fait tatouer the end of the fucking world en minuscule à l'intérieur de sa cuisse, juste à côté de son appareil féminin.
groupe : cool kids  
 
elle se maquille devant la glace elle se prépare à sortir mais c'est pas pour toi qu'elle s'est faite belle. Et c'est moi le corbeau qui t'annonce cette triste nouvelle. Elle ne t'aime pas. Ciao bella.

[la femme]

Elle avait cette bizarrerie que les jeunes filles tristes ont parfois, la résignation de ceux qui savent que tout passe et reste immuable. Les jours et les nuits défilaient, il lui suffisait de les cueillir d’un regard pour comprendre et souffrir des affres de la routine. L’ennui avait emporté ses espoirs. Elle était déjà aigre, déjà trop morne. Elle s’appelait Nari, elle s’appelait maussade, au regard vide et au sourire givré. Et puisque la foule lui était indifférente, elle décidait de se foutre de tout, de se foutre du monde, de se foutre de vous, de se foutre de nous. Mais elle avait l’air si sage sous une bouille adorable, tandis que ses mots criaient encore la provocation des adolescentes revêches. Car dans ses contes désenchantées, les filles étaient des garces et les garçons tous des batards. Ca méritait le dédain dans sa voix, la moquerie derrière un rictus subtil. Et tout en se permettant de faire n’importe quoi, elle continuait d’attirer les regards, aimant les attentions plus qu’elle ne le laissait croire. Jeune fille pas très honnête, pas très en phase avec elle-même. Malgré tout à fleur de peau, tourmentée, elle valsait avec sa mélancolie qu’elle dessinait sur des pages et sur des peaux comme une échappatoire dans une affection maladroite pour l’Art, et tous ces chefs d’œuvre qu’elle ne connaissait pas, ne sachant tracer bien que la grande arabesque de sa seule histoire. Elle aimait l'étreinte des corps sans savoir qu'elle était trop jeune pour la danse des pulsions, et puis, comme elle désertait l'amour, elle avait l'esprit vagabond de ceux qui ne s'attachent pas, de ceux qui ont cette liberté curieuse qui est le non ancrage. La solitude comme une fuite, le prétexte d'être cette grande incomprise. Alors ça lui donnait de la hargne, de la méchanceté gratuite parfois, car sans aucune honte, elle pouvait s'en sentir soulagée. C'était plus facile de vivre en égoïste. Il y avait presque une réjouissance malsaine, mais elle restait trop peu, piqûre de consolation. On ne l'aimait pas et à raison. Mais elle savait se défendre et mince que c'était agaçant, car les pestes parviennent toujours à pourrir leur environnement sans qu'on ne sache leur rendre la pareil.

ramdom : o1. ⊱ se fiche des conséquences de ses actes. o2. ⊱ n'hésitera pas à vous enfoncer si cela lui permet de se sentir bien. o3. ⊱ amie nocive amante toxique. o4. ⊱ volera votre mec pour le jeter l'instant d'après. o5. ⊱ dessine ses coups de blues. o6. ⊱ vous observera avec insistance et obsession si vous êtes sa nouvelle raison o7. ⊱ se mutile pour exprimer ce qu'elle est incapable de dire o8. ⊱ vous fera des dessins sur votre peau si elle vous apprécie. o9. ⊱ lit et mate en secret des histoires et dramas à l'eau de rose. 1o. ⊱ cherche encore un univers dans lequel s'ancrer.

Coucou :) alors je suis Sarah, encore âgée d'un quart de siècle au moins jusqu'en Juin prochain. Je fais du rp depuis une éternité je crois, plutôt sur des forums type mangas mais il faut croire que les choses changent. J'avais pas vraiment prévu de m'inscrire mais ma pote Nova m'a donné envie donc me voilà :D et je sais pas quoi vous dire de plus à part que j'ai hâte de rp avec vous les loulous !


Elle t'a peut-être déjà aimé
https://www.youtube.com/watch?v=mTlyklNcn80

« Ce n’est pas que tu ne peux pas, c’est que tu ne veux pas. » Dans la quiétude d’un samedi après-midi d’études, l’étudiant était un mec drôlement souriant, venant de nulle part, la porte du palier d’à côté en vérité mais qui allait toutes les semaines s’acharner sur les bancs de l’université de la prestigieuse Seohan. C’était déjà une forme de petit gratin qui restait sagement accoudé à la petite table de travail d’une petite chambre encore couverte des plaisirs enfantins d’une petite fille. Elle le vit empoigner de sa grande main, de ses longs doigts une tasse de café. Presque par réflexe, sa propre main s’empara de son verre de lait, paille en bouche.
L’amour pourtant malgré l’âge devait être universel.
Ji-woo ne la regardait pas, pas comme elle souhaiterait, pas comme il le devrait. Ji-Woo était ce garçon que rien ne dérangeait jamais, sorti de son quartier pauvre et prêt à devenir quelqu’un. Nari ne l’imaginait pas pourtant. C’était jamais rien que ce garçon que toutes les filles trouvaient chouette, mais pas suffisamment, celui qu’on friendzonait tout le temps, juste ce garçon un peu populaire mais pas assez, ce garçon ordinaire qu’il fallait se résoudre à appeler « homme ». Trop tôt.
Mais tandis que toutes les filles ne le voulaient pas, sagement conforté dans son célibat, il ne la regardait toujours pas. Elle voulait alors se lever, l’attraper par le col, à califourchon sur ses genoux, pensait déjà à lui rouler la pelle de sa vie. Elle l’imaginait tomber à la renverse, jamais sous le charme, mais toujours tombant dans sa seule béatitude. A quoi bon. Il resterait toujours dans l’ignorance et dirait caprice, caprice d’adolescente. Et ce serait fini. Ji-woo l’imbécile qui regardait toujours trop haut sans se soucier de ce qu’il avait au bout de son nez. Alors Nari restait assise sur ses seules rotules et déjà la vie lui devenait injuste. Ses lèvres mordillèrent sa paille avant de se mettre à aspirer bruyamment le contenu du verre. Seulement alors, Ji-woo leva une mine agacée.
Nari avait une bouche déjà fanée.

☻☻☻

Un mince filet de bave glissait le long d'une fine bouche, auréolée de rides. Nari tourna la tête vers la figure bienveillante, chaude de sa mère. Un dos droit, chétif mais que rien ne semblait pouvoir abattre. Son regard s'égara sur la forme d'un noeud, un tablier rose autour du bassin qui l'avait un jour mise au monde. Si loin mais pourtant si proche. Elle ferma les yeux. Un flux continu de bruits sonores tournaient dans sa tête. Le robinet qu'on tourne, un jet d'eau, le frottement de l'éponge sur la vaisselle. Rincer. Tint. On rejoint la pile. Par instant, c'est un bruit de pas. La mère ne supportait pas de rester immobile trop longtemps.
« Je ne veux pas aller à l'université. »
Le manège se suspendait alors. Nari rouvrit ses yeux. Sa mère ne s'était toujours pas retournée. De longs silences glissaient lentement entre elles. Le regard fixe, l'oeil inquisiteur. Nari soulevait des malaises. Elle était le démon observateur d'une honte, d'un échec ; le témoin d'une pauvreté encore tabou qui hantait les murs d'un appartement grossier, jusqu'à ronger la fierté des âmes qui y résidaient.  
« On paye déjà les études de ton frère, et il faut s'occuper de ta grand-mère. Alors, de toute façon même si tu voulais y aller...   »
Une note s'était insinuée doucement dans la voix de sa mère, un point noir, une gène. Une fuite. Nari tourna son regard vers la fenêtre, Seohan brillait dans la nuit, quelque part, bien loin de ces quartiers résidentiels si tristes.
« Et puis, tes notes sont moyennes. » La jeune fille enroula un doigt autour d'une de ses mèches brunes. Comme délivrée d'un poids, d'une insistance, la brosse se remit à frotter contre une assiette. Lavage. Rinçage. Nettoyage. Séchage. Les petits pains chauds à la viande remuaient dans leur panier à vapeur ; l'odeur chatouillait l'air ambiant.
Nari tourna le visage vers celui de sa grand-mère, teint cadavérique, sillures profondes. C'était une belle dame, corpulente sous ses vêtements traditionnels, vêtue de rouge et d'or, imposante et qui semblait rappeler une puissance mystique, ancienne, éternelle. Une austérité souveraine que ce filet de bave impotent venait gâcher. La vieillesse était un mur décrépi, un rêve défraîchi. Nari plongea son regard sans gêne dans celui de sa grand-mère. On y voyait la colère morte, du vide qui soutenait docilement la vie. Puis une pensée mauvaise. Si tu mourrais, papa et maman me pousseraient à la réussite. Alors dans une sorte de dédain prononcé, Nari n'essuya pas ce mince filet de bave, signature grotesque sur un tableau de dignité, et se détourna de ce tas de chaire molle qu'elle connaissait en vérité à peine.
La joue dans une main, les ongles frappant contre la table. La grisaille de l'obscurité dehors. Et ces yeux toujours inquisiteurs, toujours ronds d'une intensité mesquine, si prompts à tourmenter le soutien déserteur de ses géniteurs.
« Finalement, j'ai envie d'y aller. »
Mais rien. Rien qu'un soupir s'échappe des lèvres de la mère, statue édifiante, ménagère grise. Un voile d'indifférence tombait alors. Et une seule question : qu'est-ce qu'on avait mal fait ?

☻☻☻

Le crayon file sur une feuille de papier, une trace de vie, fine mine. Le jour tombe toujours lorsqu’elle vient s’asseoir sur cette balançoire où elle a toujours eu l’habitude de se laisser choir. Son frère la poussait alors. Souvenir égaré parmi tant d’autres, des éclats de rire ont sombré depuis. Il ne prend plus la peine de venir la chercher, et quand il rentre le soir, ses parents l’assaillent de bonnes intentions, d’affections retrouvées, d’un petit bonheur maigrelet qu’ils ne sont que trois à partager. Il a l’espoir sur les épaules, mais c’est une ligne brouillonne qui court sur le papier. Leur relation déchirée. Mais des pas approchent, lointain mais de plus en plus proches. Un bruit écrasé sous les talons. Nari sait pourtant que ce n’est pas lui qui s’en vient. Car il a oublié qui elle était et qui ils avaient l’habitude d’être. Alors elle ne veut plus le voir, jamais. C’est pourtant une main qui s’abat sur le sommet de son crâne, mais qu’importe si ce n’est pas la sienne. Mais Nari ne pleurera pas, plus jamais, car elle a la colère au fin fond de ses prunelles, le chagrin des oubliés.
La ville s’éteint lentement, l’effervescence se meurt. Et la pénombre glisse à la manière d’une ombre dansante dans les recoins des rues. Mais Nari ne sourit plus. Un instant pourtant particulier se lève au-delà de ses paupières. Abrités par la lumière tamisée d’un réverbère, Ji-woo a posé ses bras autour de son cou, sa joue contre la sienne, et sa bouche lentement a tutoyé les étoiles de ses lèvres. « Joyeux anniversaire. »

☻☻☻

Plus il s’approchait et plus elle reculait. L’instant était au silence, aux amours paresseux. Beau et débraillé. Plus elle le détaillait et plus elle croyait voir un autre, c’était peut-être bien pour ça qu’elle l’avait choisi. C’était mécanique. On lui avait collé un aimant sur la poitrine. Et plus elle dodelinait et plus il chancelait. C’était peut-être ses lèvres charnues, suaves, cette façon qu’elle avait de le regarder, ses prunelles intenses qui parcouraient langoureusement tout son corps, ce qu’elle dégageait, adossée à un bureau, jambes légèrement écartées. Une invitation muette contre sa bouche entrouverte. Un bouton défait de son uniforme. En avait-elle seulement conscience ? Lorsqu’il la bloqua enfin d’une étreinte, qu’elle sentit la poigne se refermait autour d’elle, sa jambe entre ses cuisses, leurs lèvres unies de mordillements terribles, elle se rendit compte qu’il ne s’agissait que d’une pâle copie. Ca n’avait rien de doux, et sous ses joues empourprées une sauvagerie hardie. Il avait l’air si propre pourtant dans son uniforme de gosse de riche, sa tête de petit con, faux petit ange aux lèvres arrogantes. Et lorsque ses doigts glissaient vers l’inaccessible, Nari se sentait partir. Les pensées divagantes, elle se disait pourtant qu’elle ne serait jamais assez bien pour lui. Cela la remplissait d'une colère grave qui venait rebondir dans l'acte. Un refus tenace de soumission.  
 
Min Gowon
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Dim 28 Oct - 13:59
Min Gowon
bienvenue sur fa elle ne t'aime pas  |Song Nari 1988886301 je connais pas du tout ton avatar mais woaw quelle beauté we stan !!!!!!!!!!!! j'espère que tu te plairas ici !! elle ne t'aime pas  |Song Nari 154076197
Invité
Anonymous
Invité
Dim 28 Oct - 17:58
Invité
Bienvenue !!
Han Gaon
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Dim 28 Oct - 20:18
Han Gaon
kyungri cette beauté :heaart:
bienvenue parmi nous What a Face
Invité
Anonymous
Invité
Mar 30 Oct - 11:37
Invité
meerci pour vos messages  elle ne t'aime pas  |Song Nari 1f61a

j'avoue je connaissais pas non plus kyung ri, mais j'en connais pas énormément tout court en fait xD mais yeah such a cutie  elle ne t'aime pas  |Song Nari 1f481

breef fiche terminée pour ma part. Lisez-bien ♥️
Min Gowon
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Mar 30 Oct - 12:34
Min Gowon
ahhh j'aime beaucoup ta manière d'écrire!!!

WE ARE COOL
Bienvenue chez les COOL KIDS ; les portes de l'école publique Cheonan vous sont désormais grandes ouvertes. Vous allez bientôt pouvoir commencer votre cursus, mais avant cela nous vous demandons de vous rendre à la vie scolaire pour réclamer vos points. Notre école faisant face à une demande grandissante, votre assiduité est requise, et il faudra donc vous y rendre régulièrement. N'oubliez surtout pas de signer votre papier de présence, obligatoire et important! Passez ensuite faire un tour dans le couloir des halls pour rencontrer les nouveaux élèves ainsi que les anciens, peut-être que vous pourriez même récolter quelques followers sur vos réseaux sociaux ou quelques numéros. Nous comptons sur vous pour maintenir la réputation de notre lycée qui vous aidera à intégrer l'université de Seohan, et vous souhaitons bon courage.

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