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FLUORESCENT ADOLESCENT, est un rpg de type vie réelle centré sur l'adolescence et la rivalité entre deux lycées. Vous avez la possibilité de jouer un lycéen, ou bien un citoyen de la ville fictive de SEOHAN dans laquelle se déroule l'action. Aucun nombre de lignes minimum n'est demandé, et un minimum de deux réponses par mois sont requises pour ne pas être en danger.
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« Un vrai livre est toujours quelqu'un qui entre dans notre solitude. » [PV Ri Cho]

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Sam 20 Oct - 21:28
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Extrait du journal de Park Sang Min:

A travers la foule dense et vertigineuse qui nous entoure, certains êtres se détachent; de part leur personne, de part ce qu’ils sont, de part ce qu’ils font. Lorsque à huit ans l’intégralité de mon univers s’était effondré, c’était comme se retrouver au cœur même, de cette vague humaine. Si détachée, si vaste qu’elle vous paralyse, au plus profond de vous-même. Le temps semble s’arrêter, tout en maintenant un perpétuel mouvement, pour tous les inconscients qui vaquent à leurs occupations. La vie est ainsi faite. C’est comme si un brouillard épais vous entourait, l’atmosphère est si sombre, l’air si glacial qu’un instant, on songe à quel point, on ne peut plus revenir en arrière. La vie ne sera plus jamais la même et pourtant, sans s’en rendre compte, il suffit de peu, pour lui en redonner une certaine consistance. En vérité, il avait suffit d’un seul homme, des mots justes et de la patience, pour ne pas laisser le garçon que j’étais, s’effondrer, dans un néant sans espoir, ni avenir.

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

S’il y avait un événement important pour la famille Park, c’était certainement l’anniversaire de son chef. Souvent, il disait ne pas apprécier tout ces détails, mis dans l’élaboration de sa fête d’anniversaire. Bien qu’en vérité, je pensais très honnêtement que cela fut le cas, j’étais tout autant certain qu’il éprouvait un immense plaisir, à savoir tout le monde autant investi, pour célébrer avec respect cet événement. C’est pourquoi, je portais un soin particulier au cadeau choisi. En effet, il fallait veiller à y réfléchir, à donner du sens à chaque décision. Mon père était ainsi, il aimait la réflexion, l’appréciation. Je le voyais comme l’être le plus calme qu’il m’ait été donné de rencontrer. Une personne faite d’assurance et de savoir. Petit, je l’avais vu infaillible, en grandissant il avait su guider à ma curiosité; ses propres doutes et incertitudes.

Mon idée initiale était vague, je savais pertinemment qu’il appréciait la lecture, plus que quiconque et c’est pourquoi j’étais venu entre deux rendez vous, à la librairie. C’était un environnement plaisant, relaxant, à tout esprit qui fut suffisamment ouvert pour apprécier l’essence même d’une lecture enrichissante.
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Lun 29 Oct - 10:40
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Les yeux ne quittent pas les mots,  la légende expliquant l'histoire d'amour impossible entre Lune et Soleil. L'histoire connue sur le bout des doigts par l'enfant. Cho sourit faiblement en parcourant les pages de l'écriture manuscrite. Elle si douce, si rêveuse se perd dans les méandres de son imagination. Les protagonistes de l'histoire prennent l'apparences de son entourage. Elle rêve à cet amour impossible, perdue dans ses pensés, Cho, n'entend pas la porte de la boutique s'ouvrir. Installée derrière le bureau, elle ne voit pas cette ombre se faufiler entre les étagères contenant les trésors de son grand-père.

Au moment où l'intrigue devient palpitant, ce moment où le Soleil avoue ses sentiments à la Lune, une ombre passe devant elle. La lycéenne relève la tête, mais ne voit rien. Ce n'est pas la première fois que son esprit lui joue des tours. Des bruits de pas se font entendre dans la boutique silencieuse, à l'ambiance si relaxante et si mystique. Une nouvelle fois son attention est attiré par un bruit inconnu. Le livre fermé, l'enfant se lève pour chercher après le mystère du jour. C'est là qu'elle le voit, de dos. " Bonjour, monsieur . " Elle s'approche de la silhouette. " Puis-je vous aider ? " sa voix est que chuchotement. Pour ne pas briser l'ambiance du lieu.
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Dim 4 Nov - 14:43
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Je marchais à pas lent dans les rayons, contemplant les étagères, sans vraiment savoir où poser mes yeux avec intérêt. Je me disais toujours : «  Le plus compliqué dans le fait de vouloir satisfaire les autres ; est la crainte de ne pas être à la hauteur, des espérances que l’on a dans premier temps déterminé ». Distrait, je ne vis pas la jeune fille s’approcher de moi et c’est quelque peu surpris que j’entendis « Bonjour Monsieur », en poursuivant ainsi, elle se rapprocha de moi : « Puis je vous aider ? ». Étonné, je la regardais fixement, sans trop savoir quoi dire. Qui était elle ? Sa jeunesse permettait d’enlever l’hypothèse qu’elle puisse être la propriétaire de la boutique. Sa manière de s’exprimer ; en chuchotant lui donnait un côté étrange, mais qui convenait, à l’ambiance de la librairie. Le livre qu’elle tenait entre ses mains, bien que je ne puisse voir son titre, me laissait supposer qu’elle appréciait de toute évidence, lire. Si je ne me laissais pas aller à songer qu’il était saugrenu de demander son aide à une jeune fille, alors cela aurait pu être pertinent. Réalisant que je la regardais fixement depuis au moins deux minutes, je dis en chuchotant :  « Je ne sais pas vraiment, je recherche un livre pour offrir à quelqu’un, mais je n’ai pas d’idée définie pour l’instant». Je ne sais pas pourquoi je chuchotais de la sorte, sans doute par mimétisme. Détachant mon regard de la jeune fille et en désignant les étagères, je poursuivis : « Je trouverai sans doute le livre qui convient ». Je sentis les vibrations de mon téléphones dans la poche de ma veste. Je m’y étais habitué, après tout, c’était les contraintes inhérentes au travail, difficile pouvait être d’avoir cinq minutes à soi. Tout en  fronçant les sourcils, je jetais un œil à ce dernier. J’avais reçu un mail, un rapport d’intervention sans doute. Quoiqu’il en soit rien qui ne pouvait attendre encore un peu, s’il y avait eu matière à plus d’importance, l’équipe en question m’aurait appelé.
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Dim 4 Nov - 20:23
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son livre contre elle, cho suit du regard le potentiel client, tout en s'approchant lentement de lui. un soupir las sort de ses lèvres, après tout, même si elle connait le passage sur le bout des doigts, nul ne devrait s'interrompre. juste pour la prose et le dessin ancien du livre représentant le soleil avouant son amour à la lune. enfin, bon... timidement, la lycéenne se permet de lui faire remarquer qu'elle est présente. tout est toujours murmure venant d'elle. la timidité oblige, le mal être en parlant avec les inconnus. les joues de la petite ingénue se teintent de rose en sentant le regard de l'homme la détaillé. dans sa tête, elle répète les paroles qu'il vient de lui dire. offrir un livre. une main devant sa bouche pour cacher le sourire. une nouvelle fois, elle a envie d'hausser les épaules. " connaissez-vous ses goûts ? " son regard se pose sur l'une des couvertures d'un livre qu'elle tire de l'étagère. " de l'érotique ? " . encore un qui ne connait pas la boutique de la famille Ri. Les gens pensent y trouver des livres actuels, alors que le livre le plus récent doit dater de la guerre entre les deux corées. elle rigole laissant le son cristallin résonner dans la pièce. " vous trouverez de tout, monsieur. il suffit de savoir ce que vous souhaitez chercher. " elle range l'ouvrage. avant de tendre la légende qu'elle lit. " si vous ne trouvez pas ce que vous souhaitez, grand-père exaucera votre vœux. " et un jour, elle deviendra la propriétaire de l'établissement au mille et une merveille pour son imagination. " permettez-moi de vous aider, monsieur. " elle utilise les titres honorifiques tout en parlant, baissant légèrement sa tête. avant d'enfin, vraiment le regarder. un visage impassible, même froid. en plus son regard est éteint. comme si il n'était pas réel. " est-ce une personne proche pour vous ? "
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Lun 5 Nov - 15:33
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Si dans un sens, j’avais eu l’impression que la jeune fille fut gênée par mon analyse détaillée de sa personne, paradoxalement, elle me donnait également le sentiment d’être parfaitement à l’aise. Cette idée, fut d’autant renforcée, lorsqu’elle me dit : «  connaissez-vous ses goûts ? » Tout en réfléchissant à cette question qui, de prime abord, peut paraître simple, je laissais mon regard vagabonder sur les étagères. Ce n’est que lorsqu’elle prit un livre, puis rit, sans doute à mon propre dépend de la situation que je compris l’inexactitude, de la réalité des faits supposés. Je n’avais nullement l’intention de porter un intérêt à un livre érotique, mais elle semblait se l’imaginer, car elle poursuivit d’un ton amusé : «  vous trouverez de tout, monsieur. il suffit de savoir ce que vous souhaitez chercher. » Ou alors, il s’agissait d’une plaisanterie, du fait du peu de clarté sur le livre que je voulais acheter, difficile à dire. Était il possible de se sentir gêné, à un âge comme le mien ? Oh ! Certes, rien de quoi rougir, mais tout de même. L’idée même qui avait pu émerger dans l’esprit de cette jeune fille, me donnais de quoi être quelque peu, mal à l’aise. Pour autant, ce n’était certainement pas ce que j’étais venu chercher et à tord, nul doute, je me sentais gêné.  « si vous ne trouvez pas ce que vous souhaitez, grand-père exaucera votre vœux. » Voilà qui venait mettre un terme relativement claire, aux suppositions concernant son identité. Elle était la petite fille du propriétaire de cette librairie. Ce qui expliquait dans un premier temps qu’elle fut là, à me parler tel à un client potentiel, puis dans un second temps, comme j’aimais me l’imaginer, ce qui expliqua qu’elle put avoir, un intérêt certains à la lecture. D’autant que j’avais pu jeter un regard au livre qu’elle tenait entre ses mains.  « permettez-moi de vous aider, monsieur. » N’était elle pas étrange ? Il n’y a pas même quelques instants, elle brandissait un livre érotique, tout en me laissant imaginer qu’elle songea ; un instant que ce dernier pu être l’objet de ma recherche, en tout cas, se fut ce que je m’imaginais, et voilà qu’à présent elle s’adressait en employant les titres honorifiques. Il y avait de quoi se demander si elle n’était tout simplement pas, le fruit de mon imagination. Cependant j’étais bien trop terre à terre pour le penser, ne serait ce qu’un instant.  « est-ce une personne proche pour vous ? » poursuivra t-elle en me regardant.

La question étant, la réponse était simple, naturellement, mon père bien qu’adoptif était une personne proche de moi. C’est sans doute pourquoi je répondis d’un ton calme et posé, qui me donnait pour certains un côté morne : «  Oui, il s’agit de mon père. Il possède une collection de livres anciens et j’aurai souhaité trouver un livre qui fut suffisamment digne dans faire partie». Si d’aucun aurait songé : « Inutile d’exagérer la mesure », c’est qu’il ne me connaissait pas suffisamment. Je n’exagérais pas, je visais seulement l’excellence, après tout ; quand on aime, ne veut on pas ce qu’il y a de mieux ?
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Lun 5 Nov - 16:43
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Derrière la timidité première de Cho, se cache une personne à l'écoute et une imagination débordante. Quand elle tire un ouvrage et que ses iris se posent sur les esquives, elle ne peut s'empêcher de rire sans penser à mak. Loin de là, jamais, la demoiselle se permettrait de juger qui que ce soit. Et les dessins sont à peine subjectifs, comme si les hommes de l'époque avaient une imagination plus débordante. L'ouvrage, la lycéenne le connait pour l'avoir parcourus comme de nombreux livres de la boutique familiale. Elle aime laisser son imagination vagabonder de page en page, au moment de la restauration des œuvres d'art reliés entre eux. Puis, elle se transforme en vendeuse à l'écoute du client, après tout, c'est son héritage, le lieu, la passion. Tout lui reviendra après l'université. Et la question n'est pas indiscrète. Un livre est comme un parfum ou même des fleurs. Il faut connaitre la personne pour ne pas lui faire défaut. Elle écoute attentivement en remarquant le ton qu'il emploie. « Oh! » Il est rare de trouver des collectionneurs. «Savez vous ses préférences ?» Elle recule dans le rayonnage, hésite un instant avant de tirer à elle un ouvrage. « La période, le sujet de prédiction de monsieur votre père. » Là, elle ne doit pas faire d'erreur. Mais vu comment est le client, elle lui tend un livre relatant l'une des grandes batailles de l'histoire coréenne s'étant passer lors du début de l'air Joseon. « Peut être une période antérieur ? Les esquives sont magnifiques elle sourit non pas timidement juste car elle est passionnée par tout ce qui les entourent.


Hs : je mets en forme les paroles ce soir
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Mar 6 Nov - 9:02
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« oh! savez vous ses préférences ?» Mon père était un passionné d’Histoire, et cela je l’avais découvert, quelques temps après mon arrivé dans la famille Park. A vrai dire, il prenait plaisir à partager sa passion avec les autres, avec moi surtout, depuis mon enfance. Petit, lorsqu’il avait assez de temps pour le faire, il me racontait quelques histoires du passé avant d’aller dormir. Parfois, j’entrais dans son bureau et il m’accordait, l’espace d’un instant, une histoire partagée. Mon père était un bon conteur, ou peut-être que j’appréciais, plus que de raison, sa manière de s’exprimer. Quoiqu’il en soit, la famille Park était traditionnelle et mon père accordait une importance capitale à l’Histoire, il disait toujours : « Il faut apprendre du passé car c’est ce qui nous guide vers demain. N’oublions pas les erreurs, retenons les, afin qu’elles guident nos pas, vers d’avantage de sagesse». Personnellement, si j’estimais que l’Histoire fut indéfectible et devait être honorer dans nos mémoires, je n’étais pas enclin à lui accorder autant d’importance. A cela, mon père répondait souvent : « Cela viendra avec le temps, il te reste encore énormément à apprendre de la vie ». Parfois, il me voyait encore, comme l’enfant que je n’étais plus. Parfois, il m’imaginais au-dessus, de ce que j’étais vraiment. Je sortis de mes pensées en la regardant parcourir le rayonnage. « la période, le sujet de prédiction de monsieur votre père. » Elle me tendit un ouvrage. Effectivement, il s’agissait du type de livres que possédait mon père. Il appréciait, tout particulièrement cette période, notamment pour ce qui avait attrait à la guerre Imjin.  Pour ma part, ce que j’en trouvais le plus intéressant restait le grand essor de la culture qui en résultait.   « peut être une période antérieur ? les esquives sont magnifiques » La jeune fille me faisait penser à mon père. Non pas qu’elle lui ressemblait physiquement, loin de là, mais elle avait dans sa manière de parler et dans toute sa physionomie, un intérêt marqué par ce qu’elle racontait. C’est ce que l’on pouvait appeler l’effet de passion. Ce qui, je devais l’avouer me laissait quelque peu perplexe, à tord sans nul doute. Cependant à ma décharge, il me semblait peu commun de rencontrer une jeune personne, autant informée et intéressée par des ouvrages comme ceux-ci. En y réfléchissant, j’eus une idée qui me semblait à la hauteur de mes attentes, fut-il qu’elle puisse être réalisable. Distraitement, en passant une main dans mes cheveux et en regardant la jeune fille je répondis : « Je songe à quelque chose qui change un peu de ce qu’il a l’habitude de collectionner, tout en restant dans son registre. » Je me rendais bien compte de mes exigences, j’en demandais énormément pour peu d’indications, c’est pourquoi j’ajoutais prestement : « Vous n’avez pas un livre sur l’Histoire du Daitōryū aikijūjutsu ? C’est un art martial japonais, c’est en partie l’ancêtre du Hapkido ». Mon père aimait l’Histoire et si je pouvais l’associer au sport traditionnel de la famille Park, cela serait certainement à la fois intéressant et inattendu. Cependant, je n’étais pas certain que la jeune fille avait ce genre de livre dans cette librairie.


Hs: Pas de soucis x)
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Mar 6 Nov - 10:05
Invité
Un jour, elle sera à son tour la gardienne des mémoires passés. Beaucoup d'adolescent sont contre le fait de reprendre une entreprise familiale, les héritiers surtout, ceux qui la regarde de haut dans les rues de la ville. Car la famille Ri est riche en souvenir et tradition. Même si un ouvrage coûte cher, juste à cause des matières utiliser, du temps que son grand père met à restaurer un livre. Un jour, la lycéenne le fera  ou plutôt son mari. Lui aussi, devra être passionner par l'histoire, les ouvrages du lieu. Lui aussi, devra comme son grand père voyager, assister à des enchères pour essayer d'acquérir un bien si précieux de l'histoire. Elle est passionnée, passion transmise par ses grands parents mais aussi ses défunts parents archéologues disparus bien trop tôt aux yeux de l'enfant. Les questions fusent, sa main se promène sur des livres avant d'en prendre un. Juste pour voir si elle a bien cerné le personnage. Un homme passionné doit s'attendre à une merveille pour les pupilles. Elle sourit oubliant tout ce qu'ils les entourent, ici, après tout est son monde, son royaume. Elle est la princesse du lieu, connaissant chaque livre en rayon ou dans la réserve. Même ceux dans l'atelier. Pensive, elle cherche dans sa mémoire ce que veut le client. « Je... » il existe un ouvrage ancien, en rouleaux. Elle se mordille les lèvres hésitante un instant. « Je peux vous en montrer mais...» elle n'a pas le droit de les vendre. Pas ainsi, le client doit se montrer digne. « je vous invite à vous rendre dans le salon des invités.» dit elle, en montrant une porte derrière lui. Cho le laisse avancer pour fermer la boutique quelques instant. Avant de le rejoindre. Le salon rappelle les appartements d'une concubine chinoise, vestige de l'époque ou les Ri et les Li n'étaient qu'un seul clan, rêvant de conquêtes. Elle enlève ses chaussures pour marcher pied nu sur le tatami. «souhaitez vous un rafraîchissement, monsieur ?» après, après, elle va devoir lui donner des gants, éteindre la lampe et allumer les bougies. Les parchemins sont dans un des meubles, cacher à la vue de tous. Il les verra seulement, le seul qui peut les vendre est son grand père. Et pour ça, il devra s'en prouver dignes. Car les rouleaux sont d'origines.
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Anonymous
Invité
Mar 6 Nov - 16:44
Invité
« Je... je peux vous en montrer mais...» Tout à coup elle me parue hésitante. Voilà qui était étrange, il n’y a pas même quelques instants, elle était là, s’adressant à moi avec une aisance que peu de jeunes de son âge, devaient avoir. A mes yeux, il me paraissait évident qu’elle ne ressemblait en rien, aux adolescents de notre temps. Elle avait en elle, un je ne sais quoi, qui se dégageait de sa personne, la rendant ainsi : différente, spéciale, une "étrangeté familière". Cela n’avait rien de désagréable, bien que surprenant, c’était surtout intriguant.  Elle finit par dire : « je vous invite à vous rendre dans le salon des invités.», tout en désignant une porte derrière moi. Elle me semblait reprendre de l’assurance. Songeant à cela, je fis  ce qu’elle me demandait. D’ailleurs, elle ne tarda pas à me rejoindre. Le salon, comme elle l’appelait était dans un style d’époque. La boutique, dans son entièreté m’apparaissait comme sortie d’un autre temps, rare vestige d’une époque révolue. Ce qui lui donnait à la fois un charme désuet et une touche de mystère ; emplie de grandeur. Sortant de ma contemplation, j’ôtais comme elle mes chaussures, la suivant ainsi sur le tatami. «souhaitez vous un rafraîchissement, monsieur ?» Je la regardais fixement cherchant à savoir, si elle attendait  une réponse concrète, mais ne trouvant aucune aide pour résoudre mon propre questionnement, je répondis : « comme il vous plaira », trouvant ma formulation un peu froide et peu avenante, je pris soin d’ajouter en faisant un geste de la main : « C’est un joli salon que vous avez là ».
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