travailleur calme perspicace intellectuel angélique attentionné lunatique penseur méticuleux possessif | personnage inventé ft jung jaewon my id card nom et prenom : les trois lettres d'une roublarde économie de parcimonieux, agrandie de troupes en armées pour un prestige dont les récoltes affluent à leurs peaux à présent pouponnées de tous; ahn. le suivant n'étant qu'un simple ajout hasardeux d'identification. âge : adolescent d'une - dizaine plus sept- d'années, imperméable aux caprices d'une jeunesse fallacieuse guidée par un manque de confiance pathétique que l'on chercherait à musser derrière une grimace enfantine. date + lieu de naissance : le banal vingt-deuxième d'un mois de juillet illuminé par les rayons solaires mal placés d'un matin de la capitale britannique; deux cœurs attendris des pommettes rubescentes du petit. nationalité(s) + origine(s) : le coréen atypique, les gênes britanniques de ses arrières parents dégoulinant aux couleurs de son épiderme, pâle et blanc faisant guère de territoire à ses traits singuliers, ses deux appartenances s'affrontant dans un palabre incoercible en quête de recognition. situation financière : le bas de son espadrille oppressant avec dédain le parterre de billets dépouillés de valeurs autres que matérielles, une populace échouée privée de fortune, pour le confort de l'hérédité. métier, job, études : royal couturier d'algèbres décousues, habile charpentier de sciences cassées, iridescent pâtissier de lettres suaves, ses supérieurs garantis de sourires euphoriques quant à ses articulations brillantes, l'une des lumières parmi les juniors. (+ filière scientifique; club de mathématiques, équipe de natation) situation familiale : précieux car étant l'unique progéniture des deux, leurs ambitieuses perceptions futuristes, rejetées au dos de l'ébène. elles commencent à se faire lourdes.... situation civile + orientation : seul et vide de cicatrices, les chimères de l'amour n'ayant jamais frappé à ses portes. avis mitigé, désirs étrangers, il ne sait qui apprécier de ces porcelaines effrayantes aux lèvres trop maquillées ou de ces grands galeux prétentieux et pourtant sans compétences. signe(s) particulier(s) : étirements de lèvres rayonnants, honnêtes comme fallacieux; présence gardienne et angélique, manières gracieuses et subtiles, ses doigts ramenant ses mèches baladeuses à son oreille, celles-ci se laissant peigner par les friselis. groupe : golden kids it's just about an intellectual boy |
right now i'm in a state of mind
i wanna be in like all the time
ain't got no tears left to cry
calme perturbant et
manières princières, il irradie d'une perspicacité
nitescente, un manipulateur né à l'étirement de lèvres pourtant rarement trompeur. l'irréprochable; son apparence, son accoutrement toujours soignés et ses salutations de bonheur à n'en jamais finir, car ami de tous, gardien de la populace, sa conscience avisée le condamnant de
ne sourire qu'au bonheur d'autrui, s'abaissant en chemin pour remettre le bouquin échoué au maladroit. les critiques s'écroulent opposées aux fondements de son fort intérieur, parfois
robustes et de grosses proportions, leurs lancées tumultueuses cassant à l'ouvrage splendide de la muraille; et par moments, de proportions trop
anodines à l’occasion de quelconques fissures. silencieux, il flâne d'une prestance hasardeuse dans les rues de la capitale, son âme en quête d'un repos éphémère,
ravalant l’écume de sa haine contre la race de
frelatés. les lueurs du couchant reflétées dans ses yeux, il soupire, sa journée achevée, la lettre rouge à sa feuille clamant l'excellence, de nouveaux sourires et merci remportés, la
placidité apathique de ses géniteurs conservée, une journée
parfaite mais son faciès toujours décoré d'un blanc lipide et sempiternel.
the story of my life :
d'une sensibilité incomprise ⊱ âme attendrie
parfumée de douceur et amoureuse d'affections enivrantes, le besoin capricieux d'en être dorlotée la tuant à petit feu sous la masse de prétendus et d'attentes ambitieuses.
en droiture, ignoré des deux en jours d'intimité, mais objet de fierté en face de la foule.
en faute, cacochyme parmi le commun des mortels et voilé d'un semblant d'excuse. la reconnaissance se perd en des mares de désespoir quant à l'enfant qui n'attend de leurs bouches que des mots d'encouragement
par pitié. il choisit la droiture.
qu'il chercherait à évaporer ⊱ orbites constellées et lèvres mêlées, ils le faisaient éperdument, leurs
esprits blancs poudrés des frimas de givre ruisselant à leurs désirs sans fondement. deux partenaire à la peau rosie des
tentations saugrenue d'un temps moisit d'amour, ils le faisaient juste comme ça, comme le
passe-temps malséant d'acrimonieux aux pages vierges, ils ne pensaient qu'à les teindre de baisers sans importance.
d'un semblant de lâcheté ⊱ une voiture décorée à l'occasion d'un mariage, l'éblouissante lumière de celle-ci défiant le sombre vespéral, l'ébène ne traversait qu'inconsciemment ce rivage. ridiculement étalé au matelas bourgeois de sa chambre l'hôpital, la tête surplombée de banderoles vigoureusement jointes à sa cassure, ses
souvenirs échoués dans le sein de la daronne, elle et son étreinte forçant au pale du faciès de l’adolescent dont le regard fixait un vide d'émotion et de vigueur.
pour finalement se résoudre; ⊱
incolore,
inodore et
sans arôme, le liquide affluant aux quatre coins du rectangle perçu comme le reflet le silencieux d'un cri étouffé des craintes amères d'une
existence ensorcelée des deux. une nage en sa jumelle élémentaire, la laissant agrémenter son supplice quotidien en un étirement de lèvres fallacieuses, une joie ténébreuse, un sourire inondé,
une course de remportée pour nasan.
accepter qu'il ne détient pas cette vie. ⊱ belle silhouette arpentant aux murs blanchâtres de la bâtisse, sorcière des temps moderne née pour emprisonner ses battements de torpeur, simpliste aux
imperfections trop parfaites, pauvre de reproches et sac bien léger de fardeaux; elle marchait, tournait, sautillait... qu'est ce qu'il la déteste, qu'est ce qu'il la jalouse, comme il l'adore.
il simule des joies, comme il le peut profitant de ces moments de sérénité, bien difficilement, pour ce
kokoro qui se
brokoro trop facilement.